Le monde à ses pieds,
Il reste sans bouger.
Ses yeux dans l’immensité,
Le temps est, à jamais, figé.
Il dégaine son arme, et le clic retentit.
C’est le son spécifique de ce qui capture la vie.
Les images obscures se dévoilent et s’animent,
A la lumière rouge d’une chambre intime.
Le monde à ses pieds,
Il reste à regarder,
Des visages sans noms,
Dont il a pris possession.
Si vous saviez ce qu’il a vu :
L’univers tout entier mis à nu.
Des riches malheureux, des pauvres heureux,
Des couples désunis, et des solitaires amoureux.
Le monde à ses pieds,
Il reste, seul, à fixer,
Les rêves sur papier glacé,
De toute l’humanité.
Il reste sans bouger.
Ses yeux dans l’immensité,
Le temps est, à jamais, figé.
Il dégaine son arme, et le clic retentit.
C’est le son spécifique de ce qui capture la vie.
Les images obscures se dévoilent et s’animent,
A la lumière rouge d’une chambre intime.
Le monde à ses pieds,
Il reste à regarder,
Des visages sans noms,
Dont il a pris possession.
Si vous saviez ce qu’il a vu :
L’univers tout entier mis à nu.
Des riches malheureux, des pauvres heureux,
Des couples désunis, et des solitaires amoureux.
Le monde à ses pieds,
Il reste, seul, à fixer,
Les rêves sur papier glacé,
De toute l’humanité.
