Laissons mes mots me guider à l'infini pour mieux les effleurer,
Offrons leur un visage, ce visage de paysages,
Et voyageons alors ensemble à travers les images,
Comme dans un nuage.
L'espace est grand, laissons les mots s'y déplacer
Pour qu'ils parviennent à retrouver leur place...
Gauche ou droite, n'est ce pas cette même direction
Qui nous contraint irraisonnablement à ne pas aller tout droit ?
Un repos peut-être, une escale, l'escale de mon bâteau,
Alors allongée, je ferme les yeux et accepte, coordonne les sons
Avec les images pour parfois les faire devenir songe, sans mensonge ;
Qu'ils me prêtent juste ces instants pour pénétrer dans l'univers de l'inabsolu
Pour le rendre réel et absolu.
Sourions, s'il te plait, pour qu'à deux, nous soyons comme toujours,
Comme jamais nous ne serons,
Parce que nous ne saurons jamais quel étrange chemin
Nous sommes entrain de parcourir sans ramer, ni tramer.
Offrons leur un visage, ce visage de paysages,
Et voyageons alors ensemble à travers les images,
Comme dans un nuage.
L'espace est grand, laissons les mots s'y déplacer
Pour qu'ils parviennent à retrouver leur place...
Gauche ou droite, n'est ce pas cette même direction
Qui nous contraint irraisonnablement à ne pas aller tout droit ?
Un repos peut-être, une escale, l'escale de mon bâteau,
Alors allongée, je ferme les yeux et accepte, coordonne les sons
Avec les images pour parfois les faire devenir songe, sans mensonge ;
Qu'ils me prêtent juste ces instants pour pénétrer dans l'univers de l'inabsolu
Pour le rendre réel et absolu.
Sourions, s'il te plait, pour qu'à deux, nous soyons comme toujours,
Comme jamais nous ne serons,
Parce que nous ne saurons jamais quel étrange chemin
Nous sommes entrain de parcourir sans ramer, ni tramer.