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Les faubourgs des âges passés

vnelis

Nouveau poète
#1
Les faubourgs des âges passés
La colère qui règne en silence
ne nous fera pas oublié le passé.
Ce matin-là, nous ne reverrons plus les faubourgs des âges passés
A contempler le passé de notre enfance qui s'est effacé.
Oui je reflète tout ce que vous avez bien dénié me léguer.
Et pourtant rien n'est à vous,ironie de mon passé,
Exemple de mon enfance inexistante, oui vous chers parents.
Si j'ai pu voir votre avenir avide de toute chose,
la peur ô ventre, le mien me révèle une mélodie chargée
d'incohérences.
Le son muet, le second trop aigu
Les basses du coeur qui ont perdu
le rythme de la vie.
Incohérente, je fuis la peur
au ventre, cette mélodie d'incompris.
A vous, ironie de mon passé.
Contempler le surplus, ce reflux qui ne vous reflète pas.
Le plus qui n'a jamais existé,
dans les moments ou de loin déjà vous me contempliez.
Là où toute lumière vous aveugle et vous rend sourd,
Elevé, moi, jusqu'à en perdre la voix,
soulevé ces mots qui ont pour but de toucher
les basses de votre coeur, avide de tout.
Bien que les apparences ne soient que trop trompeuses.
Je vous dis avec mépris, le néant, qui engloutit le décor de l'enfance.
Les murs, qui ont bercé la douce mélancolie du renfermé.
Ces édifices, du passé qui l'un après l'autre, donnaient
l'envie de s'évader des murailles de l'incompréhension.
Bien que les années passent à vols de vautours sur nos têtes.
Le reflet de l'avenir me parvient triste, a votre égard.
L'avenir qui se dissipe, qui s'est dissous,
ne laissent que des fragments à l'oubli.
Je n'ai rien cherché chez vous,
Je n'ai rien voulu de vous.
Ici le manque n'est que chose déjà obtenue.
Les faubougs des âges passés.