Une petite fille de 7 ans avec son amie dans le jardin et le constat qu’une petite piscine à-moitié remplie suffit aux plaisirs quotidien. Du pistolet à eau aux gesticulations des trempées, on ronchonne des gouttelettes perçues en se disant que l’âge doit vite y prendre son chemin … pour elles. S’ajoutant leurs hurlements des grands-jours en heures calmes, lassitude devient maîtresse des « sages » environnant.
Mais en percevant le rictus inconscient et sincère affiché sur les lèvres d’adultes attendris, une cogite personnelle s’impose :
On faisait ça ?
La soeur de 12 ans finit ses devoirs avant de se poser devant la télé. Déjà en réflexion des activités à prévoir lors de sa prochaine rencontre avec les compères collégiens, le petit coup-de-fil à la principale prépare la visite d’un après-midi dynamique. On se dit alors que la tranquillité ne ferait peut-être pas de mal à cette petite batterie-sur-patte, aux propositions de jeux de table refusées d’un sourire gêné !
Puis les vieux souvenirs dans nos propres (et faux) « rien-faire sur table » d’antan s’affairent, début d’auto-explication à la clé :
On faisait ça ?
La numéro-deux en quinzaine s’ajoute aux constats : M'en-foutiste en position écrasée dans le fauteuil confortable, téléphone à la main et tapotant ses utilisations en records de clavier. Sa concentration sur la logistique et ses dépits soutenus affichent le niveau de gravité d’une défaite de jeu et sa dispute avec l’irresponsable petit-ami.
S’asseoir près d’elle pour discuter de la vie coupant les discussions tactiles de l’ado, l’ouverture sur l’amoureux rappela les mauvais souvenirs du conseiller. Un parti-pris, coeur à la main, rejette alors les agacements précédents du plus âgé.
Possible amoureux de ce type il avait été, un doux « baume au cœur » de pardon s’affiche alors envers l’acariâtre de fortune pour une question :
On faisait ça ?
Arrive enfin l’aînée : Vingt ans et réussites d’études en-cours s’ajoutent à la maturité de la jeune femme avenante. Quelques questions sur son quotidien haut-combien respecté pour une conversation posant les vécus ludiques par mots rieurs un-peu moqueurs. Dialogues chaleureux, la fierté prend quand-même son petit coup : Jeunesse semblerait en avoir (presque) autant vécu que sagesse !
Fin de soirée et l’insistance de la vingtenaire à la rejoindre en seconde partie : Un refus immédiat puis de malines remontées des souvenirs jeunots précédents en appuis imbattables.
Face à la motivée et repensant aux trois cadettes, un regain de fougue inconscient et spontané amène ainsi à la deuxième question réchauffante :
ET POURQUOI PAS ?
Mais en percevant le rictus inconscient et sincère affiché sur les lèvres d’adultes attendris, une cogite personnelle s’impose :
On faisait ça ?
La soeur de 12 ans finit ses devoirs avant de se poser devant la télé. Déjà en réflexion des activités à prévoir lors de sa prochaine rencontre avec les compères collégiens, le petit coup-de-fil à la principale prépare la visite d’un après-midi dynamique. On se dit alors que la tranquillité ne ferait peut-être pas de mal à cette petite batterie-sur-patte, aux propositions de jeux de table refusées d’un sourire gêné !
Puis les vieux souvenirs dans nos propres (et faux) « rien-faire sur table » d’antan s’affairent, début d’auto-explication à la clé :
On faisait ça ?
La numéro-deux en quinzaine s’ajoute aux constats : M'en-foutiste en position écrasée dans le fauteuil confortable, téléphone à la main et tapotant ses utilisations en records de clavier. Sa concentration sur la logistique et ses dépits soutenus affichent le niveau de gravité d’une défaite de jeu et sa dispute avec l’irresponsable petit-ami.
S’asseoir près d’elle pour discuter de la vie coupant les discussions tactiles de l’ado, l’ouverture sur l’amoureux rappela les mauvais souvenirs du conseiller. Un parti-pris, coeur à la main, rejette alors les agacements précédents du plus âgé.
Possible amoureux de ce type il avait été, un doux « baume au cœur » de pardon s’affiche alors envers l’acariâtre de fortune pour une question :
On faisait ça ?
Arrive enfin l’aînée : Vingt ans et réussites d’études en-cours s’ajoutent à la maturité de la jeune femme avenante. Quelques questions sur son quotidien haut-combien respecté pour une conversation posant les vécus ludiques par mots rieurs un-peu moqueurs. Dialogues chaleureux, la fierté prend quand-même son petit coup : Jeunesse semblerait en avoir (presque) autant vécu que sagesse !
Fin de soirée et l’insistance de la vingtenaire à la rejoindre en seconde partie : Un refus immédiat puis de malines remontées des souvenirs jeunots précédents en appuis imbattables.
Face à la motivée et repensant aux trois cadettes, un regain de fougue inconscient et spontané amène ainsi à la deuxième question réchauffante :
ET POURQUOI PAS ?