Les déconvenues de la vie
On a beau chercher la paix
Et tant l’âme espère
S’accumulent peines et faits
Et l’on perd ses repères
Nous affligent tous les effets
D’une vie qui ne peut que déplaire
On est parfois trahi par ses amis
A qui on a livré son sang
Et de ce mal on n’est remis
Se perdent dans l’air les chansons
Et adieu la grande famille
Les maux réduisent à rien la moisson
On donne aux autres sans compter
Et argent et sympathie et amour
L’égotisme est toujours dompté
Et nous surprend le choc un jour
Personne ne peut nous supporter
On est la seule victime du désamour
Et nous voilà très faibles et esseulés
La grande foule n’a servi à rien
On est sur le point de beugler
Ils nous ont trahis, les humains
Et au lieu de très vastes champs de blé
On a toujours faibles et vides les mains
On a beau chercher la paix
Et tant l’âme espère
S’accumulent peines et faits
Et l’on perd ses repères
Nous affligent tous les effets
D’une vie qui ne peut que déplaire
On est parfois trahi par ses amis
A qui on a livré son sang
Et de ce mal on n’est remis
Se perdent dans l’air les chansons
Et adieu la grande famille
Les maux réduisent à rien la moisson
On donne aux autres sans compter
Et argent et sympathie et amour
L’égotisme est toujours dompté
Et nous surprend le choc un jour
Personne ne peut nous supporter
On est la seule victime du désamour
Et nous voilà très faibles et esseulés
La grande foule n’a servi à rien
On est sur le point de beugler
Ils nous ont trahis, les humains
Et au lieu de très vastes champs de blé
On a toujours faibles et vides les mains