Les corolles de nos luxures
Entends-tu mon Aimée,
sur les rimes de notre couche,
la chanson de l’aurore
quand la brûlure du jour
inscrit des quatrains de langueur
sur ton visage d’ange ?
J’adore le sonnet de ton corps lisse,
et la poésie de ta voix si douce
quand s’épanouissent
les corolles de nos luxures,
tes yeux de clarté m’enseignent
alors l’éloquence du Désir.
J’ai déposé sur tes lèvres si délicates
voilà peu, l’aile d’un baiser
que tu m’as rendu au centuple,
ô ma Muse,
toi qui chantes l’écume de nos nudités,
laisse ma langue et mes paumes
assouvir
les frissons de ton Désir.
Je veux comme chaque jour
louer le psaume de nos sens grisés,
reprendre l’éloquence de nos étreintes,
mes paumes et mes doigts te posséderont bientôt
haletante,
seins contre seins,
sexe contre sexe,
et tu hurleras ton bonheur d’être si Femme,
tes yeux bleus brilleront de consentement,
ô mon, Impératrice d’harmonie,
je t’emmènerai sur les rivages du stupre
où règne sans cesse la félicité de notre Jouissance si pure !
Sophie Rivière
Entends-tu mon Aimée,
sur les rimes de notre couche,
la chanson de l’aurore
quand la brûlure du jour
inscrit des quatrains de langueur
sur ton visage d’ange ?
J’adore le sonnet de ton corps lisse,
et la poésie de ta voix si douce
quand s’épanouissent
les corolles de nos luxures,
tes yeux de clarté m’enseignent
alors l’éloquence du Désir.
J’ai déposé sur tes lèvres si délicates
voilà peu, l’aile d’un baiser
que tu m’as rendu au centuple,
ô ma Muse,
toi qui chantes l’écume de nos nudités,
laisse ma langue et mes paumes
assouvir
les frissons de ton Désir.
Je veux comme chaque jour
louer le psaume de nos sens grisés,
reprendre l’éloquence de nos étreintes,
mes paumes et mes doigts te posséderont bientôt
haletante,
seins contre seins,
sexe contre sexe,
et tu hurleras ton bonheur d’être si Femme,
tes yeux bleus brilleront de consentement,
ô mon, Impératrice d’harmonie,
je t’emmènerai sur les rivages du stupre
où règne sans cesse la félicité de notre Jouissance si pure !
Sophie Rivière