Les armes du temps
Que les dieux me regardent ,ne men veillez pas
Certes j'avais peu de beauté ,les traits redoutables
Et n'estois point des plus aimable
Mais estois des plus délicat
J'estois pourtant dans l'âge ou régnai la tendresse
Et mon coeur en estoit touche
Honte il me faut justifier sans cesse,
Les caprices du temps ,qui m'estois inflige ,
Disant quelque fois de mon visage ,
Quand la beauté d'autre fois ,mais sage ,
S'installe cette laideur don personne sans estoit attiré
Ne plus rien promettre ,et poutant ,gage
Qu'on ne me vois ,mes yeux pourtant attriste
Que pleuvent les larmes du temps ,,,,,,,,,,,
Que les dieux me regardent ,ne men veillez pas
Certes j'avais peu de beauté ,les traits redoutables
Et n'estois point des plus aimable
Mais estois des plus délicat
J'estois pourtant dans l'âge ou régnai la tendresse
Et mon coeur en estoit touche
Honte il me faut justifier sans cesse,
Les caprices du temps ,qui m'estois inflige ,
Disant quelque fois de mon visage ,
Quand la beauté d'autre fois ,mais sage ,
S'installe cette laideur don personne sans estoit attiré
Ne plus rien promettre ,et poutant ,gage
Qu'on ne me vois ,mes yeux pourtant attriste
Que pleuvent les larmes du temps ,,,,,,,,,,,