L'entité
En une nuit chaude de printemps avancé,
Mon corps fatigué tente de se reposer.
Là où l'esprit devrait maintenant dormir,
Au grand Pays des Rêves, où je me mets à courir.
Habituellement mon odorat hûme des senteurs exquises,
Ou devant un chevalet, je dessine mes esquisses.
Mais une entité vient troubler mon décor,
Elle sonne à mes entrailles, c'est juste mon âme morte.
Elle me glisse à l'oreille, ô combien il est lacérant,
D'être condamné à revivre sa mort, pour l'éternité durant.
Je l'ignore un temps, puis finis par lui transmettre,
Qu'un jour elle reviendra habiter mon être.
En une nuit chaude de printemps avancé,
Mon corps fatigué tente de se reposer.
Là où l'esprit devrait maintenant dormir,
Au grand Pays des Rêves, où je me mets à courir.
Habituellement mon odorat hûme des senteurs exquises,
Ou devant un chevalet, je dessine mes esquisses.
Mais une entité vient troubler mon décor,
Elle sonne à mes entrailles, c'est juste mon âme morte.
Elle me glisse à l'oreille, ô combien il est lacérant,
D'être condamné à revivre sa mort, pour l'éternité durant.
Je l'ignore un temps, puis finis par lui transmettre,
Qu'un jour elle reviendra habiter mon être.