J’observe le reflet de mon âme plongée dans l’enfer de mes péchés.
Elle s’éteint comme une flamme, doucement sans vous perturber.
Ecoutez juste ces râles jaillir des entrailles de mes pensées
Courir brusquement à vos oreilles lorsque vous êtes penché.
Je me perds lentement dans les marrais sombres de la vie,
Laissant derrière moi mes peines, mes joies et mes envies.
Qui es-tu pour ainsi bousculer mes repères
Doute, qui t’insinue dans ma vie de père ?
La force de mes mots s’épuise avec le temps
Car je n’écris plus qu’avec l’encre de mon sang.
Je me vide de ce vin qui s’écoule en moi
Et m’enivre des senteurs perdues d’autrefois.
L'amour ne s’apaise pas lorsque le cœur cesse
Il continuera sa fauche avec allégresse.
Alors que je chute au plus profond de mon ego
J’observe le reflet de mon âme plongée dans l’enfer de mes maux.
Elle s’éteint comme une flamme, doucement sans vous perturber.
Ecoutez juste ces râles jaillir des entrailles de mes pensées
Courir brusquement à vos oreilles lorsque vous êtes penché.
Je me perds lentement dans les marrais sombres de la vie,
Laissant derrière moi mes peines, mes joies et mes envies.
Qui es-tu pour ainsi bousculer mes repères
Doute, qui t’insinue dans ma vie de père ?
La force de mes mots s’épuise avec le temps
Car je n’écris plus qu’avec l’encre de mon sang.
Je me vide de ce vin qui s’écoule en moi
Et m’enivre des senteurs perdues d’autrefois.
L'amour ne s’apaise pas lorsque le cœur cesse
Il continuera sa fauche avec allégresse.
Alors que je chute au plus profond de mon ego
J’observe le reflet de mon âme plongée dans l’enfer de mes maux.