Je courais à la plus proche gare.
Trainant de tout son long mon bagage.
Me préparant à mon futur voyage,
Riche en découverte et en art.
Un florilège de monde attendait,
Regardant de temps à autre la pendule,
Avec un air des plus incrédule,
Les minutes qui s'égrennaient.
Je compostais mon billet.
Me dirigeant sur la voie A menant au quai.
Soudain, je vis apparaître du brouillard épais.
Et, j'entendais des enfants qui riaient.
A l'arriver du train,
Qui s'approchait sur les rails.
Quand les portes s'ouvrient, ce fut la pagaille.
Quel chagrin ! Je vais prendre un autre chemin.
Je pris place sur mon siège réservé.
Face à un inconnu plongé dans un livre.
Qui était loin d'être pauvre.
Où le silence pesant, m'avais énervé.
J'observais de ma fenêtre,
Les décors disparaîtrent à vive allure.
Le train devançant chaques voitures.
Puis, je vis son visage de belâtre.
Il me regardait l'air géné.
Je me retournais vers lui.
Quand j'entendis la pluie.
A l'instant nous fûment comme figés.
Il avait les yeux d'un bleu si clair.
Je ne pu m'empêcher de les contempler.
Quand un agent se mit à l'appeler.
Je m'arrêtais de le faire.
Il se leva et disparu au fond du train.
Chaques minutes représentaient une éternité.
J'avais perdu ma sérennité.
Je n'avais que l'odeur de son parfum.
Imprégné sur son siège.
Le train s'arrêta brusquement.
Je le cherchais déséspéremment.
Au terminus, je ne vis que de la neige.
Flo
Trainant de tout son long mon bagage.
Me préparant à mon futur voyage,
Riche en découverte et en art.
Un florilège de monde attendait,
Regardant de temps à autre la pendule,
Avec un air des plus incrédule,
Les minutes qui s'égrennaient.
Je compostais mon billet.
Me dirigeant sur la voie A menant au quai.
Soudain, je vis apparaître du brouillard épais.
Et, j'entendais des enfants qui riaient.
A l'arriver du train,
Qui s'approchait sur les rails.
Quand les portes s'ouvrient, ce fut la pagaille.
Quel chagrin ! Je vais prendre un autre chemin.
Je pris place sur mon siège réservé.
Face à un inconnu plongé dans un livre.
Qui était loin d'être pauvre.
Où le silence pesant, m'avais énervé.
J'observais de ma fenêtre,
Les décors disparaîtrent à vive allure.
Le train devançant chaques voitures.
Puis, je vis son visage de belâtre.
Il me regardait l'air géné.
Je me retournais vers lui.
Quand j'entendis la pluie.
A l'instant nous fûment comme figés.
Il avait les yeux d'un bleu si clair.
Je ne pu m'empêcher de les contempler.
Quand un agent se mit à l'appeler.
Je m'arrêtais de le faire.
Il se leva et disparu au fond du train.
Chaques minutes représentaient une éternité.
J'avais perdu ma sérennité.
Je n'avais que l'odeur de son parfum.
Imprégné sur son siège.
Le train s'arrêta brusquement.
Je le cherchais déséspéremment.
Au terminus, je ne vis que de la neige.
Flo