Il y a, désormais, régissant dans le monde
Une nouvelle loi régulant l’espace,
Et le temps, entité, à nature salace
Lance sa remontrance et l’objet de sa fronde.
Chronos, père du temps, se lasse de son heur,
Prête majestueuse à l’oreille de Planck
En sa divination de sa force qui manque.
Du bonheur, donc de l’heur, en stoppant son ardeur.
Il est donc arrêté, défiant toute loi
Comme le prisme humain s’arrêtant de briller,
Qu’un concept de la vie ne pouvant proroger
Et décide d’un coup que tout s’enrayera.
Je ne bougerai plus, coincé entre deux temps.
L’image mobile de notre éternité,
Platon n’en rira plus, anachroniquement,
Qu’un temps, de conserve, que l’univers fabrique.
Les sources de déchets de juvénilité,
Nous font enfin payer les lois de la physique.
Une nouvelle loi régulant l’espace,
Et le temps, entité, à nature salace
Lance sa remontrance et l’objet de sa fronde.
Chronos, père du temps, se lasse de son heur,
Prête majestueuse à l’oreille de Planck
En sa divination de sa force qui manque.
Du bonheur, donc de l’heur, en stoppant son ardeur.
Il est donc arrêté, défiant toute loi
Comme le prisme humain s’arrêtant de briller,
Qu’un concept de la vie ne pouvant proroger
Et décide d’un coup que tout s’enrayera.
Je ne bougerai plus, coincé entre deux temps.
L’image mobile de notre éternité,
Platon n’en rira plus, anachroniquement,
Qu’un temps, de conserve, que l’univers fabrique.
Les sources de déchets de juvénilité,
Nous font enfin payer les lois de la physique.