Pour toi, je voulais inventer de nouveaux mots,
De belles phrases pour rendre ton présent plus beau,
Pour que tes yeux cessent de regarder le sol et qu'ils voient plus haut,
Pour que tu cesse de te détruire et que tu connaisse le bonheur à nouveau.
Je me rapelle comme tes yeux brillaient,
Comme ton sourire était vrai,
Je me rapelle de ta timidité,
De ton rire nerveux quand il te regardait.
Je me rapelle que ce n'est plus comme cela,
Je pense que je ne te verrai plus jamais avec ce bonheur là,
Je sais que sans sa présence tu ne vis pas,
Mais, par pitié, ne fais pas ça.
Tu crois que c'est facile de te voir faire ça ?
De te laisser aller vers la mort à chacun de tes pas ?
Je t'ai promis de toujours être là pour toi,
Donc s'il te plait, arrête les conneries et parle moi.
Ces traces sur tes bras, des marques de survie,
Ces coupures qui te font suivre par un psy,
Ce n'est rien d'après ce que tu dis,
Mais ça me fait mal de te voir ainsi...
- Poème fictif. -
De belles phrases pour rendre ton présent plus beau,
Pour que tes yeux cessent de regarder le sol et qu'ils voient plus haut,
Pour que tu cesse de te détruire et que tu connaisse le bonheur à nouveau.
Je me rapelle comme tes yeux brillaient,
Comme ton sourire était vrai,
Je me rapelle de ta timidité,
De ton rire nerveux quand il te regardait.
Je me rapelle que ce n'est plus comme cela,
Je pense que je ne te verrai plus jamais avec ce bonheur là,
Je sais que sans sa présence tu ne vis pas,
Mais, par pitié, ne fais pas ça.
Tu crois que c'est facile de te voir faire ça ?
De te laisser aller vers la mort à chacun de tes pas ?
Je t'ai promis de toujours être là pour toi,
Donc s'il te plait, arrête les conneries et parle moi.
Ces traces sur tes bras, des marques de survie,
Ces coupures qui te font suivre par un psy,
Ce n'est rien d'après ce que tu dis,
Mais ça me fait mal de te voir ainsi...
- Poème fictif. -