Le temps d’une note.
J’ai composé un texte en quatre temps,
Ça y est, comme notre grand Jacques,
J’l’avais commencé au temps de Pâques,
Mais hier, j’ai eu un petit contre temps.
Inondant les champs, j’me remis au passe temps,
Et le chant de ma valse devenait un tango,
Et ma prose ressemblait à un simple fandango,
Des cordes tombaient en ce très sale temps,
J’espère que vous en avez pris bonne note,
Car sur ma partition, c’est un véritable orage,
Les éclairs extérieurs me m’étaient en saine rage,
De rature en rature, toujours une pauvre compote.
Pour mon refrain, j’le fis en une petite minute,
Car il n’est pas question que j’y passe une ère,
Faisant fit des rimes qui auraient fait mauvais airs,
De quatre quatrains, il fallait bien que j’affûte.
PS : Je ne suis qu’un pauvre hère
Et pour les rimes riches
Je ne suis pas fortiche,
Pour avoir composé ce nouvel air.
J’ai composé un texte en quatre temps,
Ça y est, comme notre grand Jacques,
J’l’avais commencé au temps de Pâques,
Mais hier, j’ai eu un petit contre temps.
Inondant les champs, j’me remis au passe temps,
Et le chant de ma valse devenait un tango,
Et ma prose ressemblait à un simple fandango,
Des cordes tombaient en ce très sale temps,
J’espère que vous en avez pris bonne note,
Car sur ma partition, c’est un véritable orage,
Les éclairs extérieurs me m’étaient en saine rage,
De rature en rature, toujours une pauvre compote.
Pour mon refrain, j’le fis en une petite minute,
Car il n’est pas question que j’y passe une ère,
Faisant fit des rimes qui auraient fait mauvais airs,
De quatre quatrains, il fallait bien que j’affûte.
PS : Je ne suis qu’un pauvre hère
Et pour les rimes riches
Je ne suis pas fortiche,
Pour avoir composé ce nouvel air.