Le souffle de nos mots
Le poème est un souffle, qui aussitôt lu,
S'oublie au point qu'il faille, revenir le lire,
Comme une musique, devient un air déchu,
Où seul son auteur, en ressent la vraie lyre.
Comme une complainte, s'envole sur le vent,
Egale au cri du coeur, qui dans la joie s'exalte,
De l'instant éphémère, bercé par son chant,
D'une essence de plume qui exhale la hâte.
Sur ce bout de papier, saigner de sentiments,
Baignés par la lumière, d'une Muse angélique,
Les mots et tous les maux, s'évadent sur le champ,
Au long du parchemin qui devient une crique.
Lorsque la nuit tombe, s'écoulent nos encres,
À puiser dans les rêves, et coulent les sentiments,
Dans ce monde étrange, où nous jetterons l'ancre,
Loin de cette terre, vers d'autres continents.
La vie est notre souffle, déjà respiré,
Je ressens le parfum, d'un poème d'amour,
Qui s'oublie et s'égare, changeant de vérité,
Et qu'il faudra relire, en pensant à toujours.
Jamais on n'oubliera, nos vers écrits à deux,
Gravés dans l'éternel, au pont de nos soupirs,
Se souvenant combien, ils nous rendaient heureux,
De partager l'amour, de nos mots à sertir.
Phoeube, Matthale ©(04/06/2018)
Le poème est un souffle, qui aussitôt lu,
S'oublie au point qu'il faille, revenir le lire,
Comme une musique, devient un air déchu,
Où seul son auteur, en ressent la vraie lyre.
Comme une complainte, s'envole sur le vent,
Egale au cri du coeur, qui dans la joie s'exalte,
De l'instant éphémère, bercé par son chant,
D'une essence de plume qui exhale la hâte.
Sur ce bout de papier, saigner de sentiments,
Baignés par la lumière, d'une Muse angélique,
Les mots et tous les maux, s'évadent sur le champ,
Au long du parchemin qui devient une crique.
Lorsque la nuit tombe, s'écoulent nos encres,
À puiser dans les rêves, et coulent les sentiments,
Dans ce monde étrange, où nous jetterons l'ancre,
Loin de cette terre, vers d'autres continents.
La vie est notre souffle, déjà respiré,
Je ressens le parfum, d'un poème d'amour,
Qui s'oublie et s'égare, changeant de vérité,
Et qu'il faudra relire, en pensant à toujours.
Jamais on n'oubliera, nos vers écrits à deux,
Gravés dans l'éternel, au pont de nos soupirs,
Se souvenant combien, ils nous rendaient heureux,
De partager l'amour, de nos mots à sertir.
Phoeube, Matthale ©(04/06/2018)
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