Yamina savait tous ça, comme sa mère et sa grande mère avant elle, tous ce qu’elle a vécu, dans a vie, ses souffrances, ses déchirures intérieurs, ces blessures ont contribué à faire d’elle ce qu’elle est maintenant, elle a réussi a canalisé toutes ses peines et ses déceptions, a se montrait digne et forte, quant dans le passé ses larmes coulaient a flot sur ses joues et qu’il n’y avait personne pour la consolais et la prendre dans ses bras, dans ses moments la !! Elle était toute seule !!!Elle s’est construite toute seule !la consolais !! Pour lui dire quoi au juste ? dans une société frustré, qui ne sait pas s’exprimer, des qu’on parle de sentiments, une réel gène s’installe, tous de vient inconfortable ,le père a du mal a prendre ses enfants dans ses bras a leur dire « je vous aiment », le fils se cache pour fumer pourvu que son père ne le vois pas, alors comment parler de ses propres sentiments quant on est une jeune fille, a une mère qui a appris a toujours se taire , haïr et mépriser ses propres sentiments.
Le temps passait, les années s’écoulaient doucement, le temps !n’a fait qu’assagir sa volonté et endurcir son cœur face a l’adversité de la vie, elle vivait ! La vie qu’elle devait vivre, et elle vivait la vie qu’elle aimait vivre, on elle, secrètement, elle bouillonnait, rayonnait, les murs étaient pour le monde extérieur mais la vrai liberté était a l’intérieur d’elle, et elle savait!!yamina pensait, contemplais, observait, rêvassait, sans rien dire.
Elle avait un avis presque sur tous, mais n’en disait rien, personne ne lui avait demandé auparavant et pourquoi elle le ferait ? Son avis ne comptait pas !
Pour être honnête, yamina aimait regardait la stupidité humaine qui s’acharnait a rendre le monde sois disant plus intelligent, plus beau et courtois, les vieilles moralités arrêtés dans le cour du temps et de l’histoire et que la bêtise humaine narre encore « il est d’usage »ou « il est de coutume », des mots qu’elle respecte, et aime mais parfois les coutumes et les mœurs d’autres fois frôlent le rire
A notre époque se disait ‘elle
A suivre…….
Le temps passait, les années s’écoulaient doucement, le temps !n’a fait qu’assagir sa volonté et endurcir son cœur face a l’adversité de la vie, elle vivait ! La vie qu’elle devait vivre, et elle vivait la vie qu’elle aimait vivre, on elle, secrètement, elle bouillonnait, rayonnait, les murs étaient pour le monde extérieur mais la vrai liberté était a l’intérieur d’elle, et elle savait!!yamina pensait, contemplais, observait, rêvassait, sans rien dire.
Elle avait un avis presque sur tous, mais n’en disait rien, personne ne lui avait demandé auparavant et pourquoi elle le ferait ? Son avis ne comptait pas !
Pour être honnête, yamina aimait regardait la stupidité humaine qui s’acharnait a rendre le monde sois disant plus intelligent, plus beau et courtois, les vieilles moralités arrêtés dans le cour du temps et de l’histoire et que la bêtise humaine narre encore « il est d’usage »ou « il est de coutume », des mots qu’elle respecte, et aime mais parfois les coutumes et les mœurs d’autres fois frôlent le rire
A notre époque se disait ‘elle
A suivre…….