Le silence m'habitue
Les volets sont fermés
Je contemple que la noirceur
Seul la lampe du bureau est allumer
Juste pour mon clavier.
Je dort pas je veille
Comme bien des soirs d'insomnies
Ou je me remémore le temps d'une journée
Mes idées, mes projets
La nuit étoilé bat son plein
Je ne peu vous dire
Comment est mon océan
Je l'imagine toujours bleuté
Iodé et déchaîné
Par ses malheureux rochers
Ou la mer venant s' engouffré
Par les gigantesques vagues
Dont l'écume s' epaisie
d'une blancheur exsangue
Pourtant je le vis en journée
Mais la tout baricader
Je ne l'entend pas
Ni de par sa colère
Ni venant du vent
Rien pas un bruit dans cette demeure
Traveller, et torpille je ne sais où
Tout est endormi comme par la sécurité
Qui envahi notre bâtisse.
Tout est triste
Vite que cette nuit s' acheve enfin
Hâte d'ouvrir demain ses stores
Ouvrir grand la fenêtre
Laissant l'air marin assenir ses murs
Et de voir se paysage qui m, ouvre ses bras
Son coeur pour vous écrire encore
La fraîcheur des mots modeste
Que je suis vraiment
Vivre ici, vivre ailleurs
Ivre de bonheur
Un monde des plus meilleur
Mon paradis, mes insomnies
Mon modeste clavier
La mer pour respirer
Que demande le peuple
Rien , je vit, tout naturellement
Comme vous avec des jours de dégoût
Mais de belles amitiés
Que j'aurai croiser
Des souvenirs gravé
Pour l'éternité
Et tant d'histoire à vous raconter
Raconter entre vous et moi
Notre symbiose, de la vie
Qui se métamorphose
Ou des mots déconfiture
Qui se décompose
Pour en recueillir la symbiose.
Linna
Les volets sont fermés
Je contemple que la noirceur
Seul la lampe du bureau est allumer
Juste pour mon clavier.
Je dort pas je veille
Comme bien des soirs d'insomnies
Ou je me remémore le temps d'une journée
Mes idées, mes projets
La nuit étoilé bat son plein
Je ne peu vous dire
Comment est mon océan
Je l'imagine toujours bleuté
Iodé et déchaîné
Par ses malheureux rochers
Ou la mer venant s' engouffré
Par les gigantesques vagues
Dont l'écume s' epaisie
d'une blancheur exsangue
Pourtant je le vis en journée
Mais la tout baricader
Je ne l'entend pas
Ni de par sa colère
Ni venant du vent
Rien pas un bruit dans cette demeure
Traveller, et torpille je ne sais où
Tout est endormi comme par la sécurité
Qui envahi notre bâtisse.
Tout est triste
Vite que cette nuit s' acheve enfin
Hâte d'ouvrir demain ses stores
Ouvrir grand la fenêtre
Laissant l'air marin assenir ses murs
Et de voir se paysage qui m, ouvre ses bras
Son coeur pour vous écrire encore
La fraîcheur des mots modeste
Que je suis vraiment
Vivre ici, vivre ailleurs
Ivre de bonheur
Un monde des plus meilleur
Mon paradis, mes insomnies
Mon modeste clavier
La mer pour respirer
Que demande le peuple
Rien , je vit, tout naturellement
Comme vous avec des jours de dégoût
Mais de belles amitiés
Que j'aurai croiser
Des souvenirs gravé
Pour l'éternité
Et tant d'histoire à vous raconter
Raconter entre vous et moi
Notre symbiose, de la vie
Qui se métamorphose
Ou des mots déconfiture
Qui se décompose
Pour en recueillir la symbiose.
Linna
