Pas de mots, quand ses mains parlent aux miennes,
Mais un laçage de doigts serres comme un étau,
Ressentant les étreintes avant qu'elles assenent
L'instant d'éternité nous faisant planer haut.
Nos bouches vagabondent et de baisers se touchent,
Les lèvres s'effleurant avant de se sceller,
Douceur des peaux, de leur moiteur accouchent
Des frissons lumineux comme des cieux étoiles.
Nos yeux coulissent , tels des pivots huiles
Les cils sautillent, vibrent, insassiables,
Oscillant dessus nos nez jumelés,
Sous la cadence des cheveux indomptables.
Nos corps soumis aux caresses des doigts,
L'amour œuvre aux sons des balades,
Entrelacs d'aubades et de senteurs d'emois,
Quel pouvoir que ses mains ! Ou je ploie.. Infatiguable...
Mais un laçage de doigts serres comme un étau,
Ressentant les étreintes avant qu'elles assenent
L'instant d'éternité nous faisant planer haut.
Nos bouches vagabondent et de baisers se touchent,
Les lèvres s'effleurant avant de se sceller,
Douceur des peaux, de leur moiteur accouchent
Des frissons lumineux comme des cieux étoiles.
Nos yeux coulissent , tels des pivots huiles
Les cils sautillent, vibrent, insassiables,
Oscillant dessus nos nez jumelés,
Sous la cadence des cheveux indomptables.
Nos corps soumis aux caresses des doigts,
L'amour œuvre aux sons des balades,
Entrelacs d'aubades et de senteurs d'emois,
Quel pouvoir que ses mains ! Ou je ploie.. Infatiguable...
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