Je me rappelle un jour de Juillet.
J'ai rencontré un pti bout de femme apeurée.
Moi je regardais de mes yeux plein d'étoiles.
Une fille que je n'osais toucher.
Elle n’était pas affolée.
Alors que mes paroles semblaient la calmer.
Les sanglots la transportaient.
Et vers mon cœur la conduisait.
Elle écoutait juste mon cœur s'ouvrir au sien.
Car les chagrins n'ont de peine que ceux qu'ils comprennent.
Le poète bohème que je suis continua son refrain
Et elle écouta tout en lui susurrant des : Viens...
Il ne chantait pas son amour !
Qu’elle ne fut pas sa peine.
Elle avait, oui besoin d'amour.
Mais pas d'un rêve sans lendemain
La petite fille aux épaules nues. S'approcha et le petit bohème pris peur.
Jamais on ne s'intéressait à lui plus d'une nuit.
Il recula tout en chantant alors que la fillette pleurait sans mot.
On ne mesure jamais ce que l'on a. Alors qu'il recule et que la chanson fut finie.
Que la belle femme était partie. Alors le poète pleura car maintenant il avait compris.
J'ai rencontré un pti bout de femme apeurée.
Moi je regardais de mes yeux plein d'étoiles.
Une fille que je n'osais toucher.
Elle n’était pas affolée.
Alors que mes paroles semblaient la calmer.
Les sanglots la transportaient.
Et vers mon cœur la conduisait.
Elle écoutait juste mon cœur s'ouvrir au sien.
Car les chagrins n'ont de peine que ceux qu'ils comprennent.
Le poète bohème que je suis continua son refrain
Et elle écouta tout en lui susurrant des : Viens...
Il ne chantait pas son amour !
Qu’elle ne fut pas sa peine.
Elle avait, oui besoin d'amour.
Mais pas d'un rêve sans lendemain
La petite fille aux épaules nues. S'approcha et le petit bohème pris peur.
Jamais on ne s'intéressait à lui plus d'une nuit.
Il recula tout en chantant alors que la fillette pleurait sans mot.
On ne mesure jamais ce que l'on a. Alors qu'il recule et que la chanson fut finie.
Que la belle femme était partie. Alors le poète pleura car maintenant il avait compris.