Le poème.
Le poème naît d’une idée qui s’évade,
ou d’un sentiment en ambassade.
Peu importe le rythme ou le sonnet.
Seule compte l’émotion sortie du genêt.
Le poème naît de l'idée d’un combat.
D’une dérision qui un jour succombât,
au crépuscule d'un soir sans lune,
offert à l’esprit, par une vision opportune.
Le poème naît du lyrisme de l’amertume,
ou un cœur s’accroche à la corne à brume.
C’est le désespoir d’une vie qui bascule,
portée par la misère qui accule.
Le poème meurt par souffrance et déchirement.
Il est pourtant vie, espoir et revirement,
musique de chambre et hard métal,
logé, en parfum, au bord d’un pétale
Loïc ROUSSELOT
Le poème naît d’une idée qui s’évade,
ou d’un sentiment en ambassade.
Peu importe le rythme ou le sonnet.
Seule compte l’émotion sortie du genêt.
Le poème naît de l'idée d’un combat.
D’une dérision qui un jour succombât,
au crépuscule d'un soir sans lune,
offert à l’esprit, par une vision opportune.
Le poème naît du lyrisme de l’amertume,
ou un cœur s’accroche à la corne à brume.
C’est le désespoir d’une vie qui bascule,
portée par la misère qui accule.
Le poème meurt par souffrance et déchirement.
Il est pourtant vie, espoir et revirement,
musique de chambre et hard métal,
logé, en parfum, au bord d’un pétale
Loïc ROUSSELOT