Pour Bernard, avec toute mon amitié
10 ans déjà
Le passage,
Le cri du corbeau nous glace plein d’effroi,
De ta mort, on s’écroule, on ne peut oublier,
Dors et retrouves tes amis partis avant toi,
Dans ce lieu froid que personne ne peut aimer.
Des textes, tu étais un fervent défenseur,
Sans toi, la terre est perdue, pauvre et dévastée,
Vers le ciel ton corps monte, fais lui face,
En priant dieu de t'ouvrir l'éternité.
Tu es parti sans marbre,
Dans le ciel ou dans les arbres,
Tu nous soutenais, tu es libre,
Maintenant, regardes-nous vivre.
Tu t’investissais, on te vénère,
Tout paraît si noir dans les ténèbres,
Pourtant les fleurs ont toujours des couleurs,
Je n’ai plus de mots, mes maux me font peur.
10 ans déjà
Le passage,
Le cri du corbeau nous glace plein d’effroi,
De ta mort, on s’écroule, on ne peut oublier,
Dors et retrouves tes amis partis avant toi,
Dans ce lieu froid que personne ne peut aimer.
Des textes, tu étais un fervent défenseur,
Sans toi, la terre est perdue, pauvre et dévastée,
Vers le ciel ton corps monte, fais lui face,
En priant dieu de t'ouvrir l'éternité.
Tu es parti sans marbre,
Dans le ciel ou dans les arbres,
Tu nous soutenais, tu es libre,
Maintenant, regardes-nous vivre.
Tu t’investissais, on te vénère,
Tout paraît si noir dans les ténèbres,
Pourtant les fleurs ont toujours des couleurs,
Je n’ai plus de mots, mes maux me font peur.