Le murmure du vent
Je marche dans la nuit en écoutant le vent
Si loin si loin de lui, mais plus près que jamais
Quand le grand aquilon cueille mes sentiments Entend-il dans l’écho? Ce que je murmurais.
Des mots qui sont velours, semés dans son jardin
En laissant des traces bien au-delà du temps
De racines lacées, comme un magique lien
Venant tisser l’amour oublié dans le vent.
Oscillant dans le noir sous la lune voilée
La brise tel un trait, sur ma paupière ondoie
J’écoute son soupir qui chante dans les prés
Là ! Où j’ai tant rêvé sous le roseau qui ploie.
Quand là haut dans l’éther, un manteau de lumière,
Éclaire mon chemin, vers la route du tendre
Pas à pas j’avance sous les arches de pierre
Dans le frisson du vent sa voix se fait entendre,
Chuchote à mon oreille, inaudible murmure,
Va ! Marche aux quatre vents, mon souvenir t’escorte
La rafale qui tournoie sur ton corps, s’emmure,
Et te pousse vers moi dans mes bras te transporte.
Je marche dans la nuit en écoutant le vent
Si loin si loin de lui, mais plus près que jamais
Quand le grand aquilon cueille mes sentiments Entend-il dans l’écho? Ce que je murmurais.
Des mots qui sont velours, semés dans son jardin
En laissant des traces bien au-delà du temps
De racines lacées, comme un magique lien
Venant tisser l’amour oublié dans le vent.
Oscillant dans le noir sous la lune voilée
La brise tel un trait, sur ma paupière ondoie
J’écoute son soupir qui chante dans les prés
Là ! Où j’ai tant rêvé sous le roseau qui ploie.
Quand là haut dans l’éther, un manteau de lumière,
Éclaire mon chemin, vers la route du tendre
Pas à pas j’avance sous les arches de pierre
Dans le frisson du vent sa voix se fait entendre,
Chuchote à mon oreille, inaudible murmure,
Va ! Marche aux quatre vents, mon souvenir t’escorte
La rafale qui tournoie sur ton corps, s’emmure,
Et te pousse vers moi dans mes bras te transporte.
Katy-Ann