Le lit de la douleur...
Ainsi se mène et se démène, cette histoire que je vais vous conter
Dans la peau d’un homme, d’un garçon, dans les profondeurs de ses pensées…
Un beau jour de décembre, je parcourais les pavés de Paris
J’étais enjoué, joyeux, voyageant sur une musique de Lully
Je cherchais une adresse, une rue, un bâtiment, pour mon prochain emploi
Mais je n’apercevais que des oiseaux, des touristes, des cafés et des voix
Perdu, fatigué, je m’assis en face du Trocadero pour me reposer un peu
J’avais presque atteint mon but, mais j’ignorais à quel point les prochaines secondes allaient me rendre heureux
Elle était devant moi, l’objet de mes désirs, le fruit de mes passions
Un ange marchait devant moi, livre à la main, bouleversant mes visions
Nous étions en plein hiver, et pourtant il restait une fleur
J’ignorais que la nature avait ce don, de créer l’incarnation de la beauté des stupeurs
Pétrifié, je l’ai abordé, je l’ai apprécié, puis je l’ai rappelé
Un jour, notre grande complicité était né, puis je l’ai aimé
Elle aussi, elle a apprit à m’aimer, ce jour où elle ma prit par le bras
Ainsi nos jours heureux déchirèrent le ciel de ces cents éclats
Dans notre plus grand bonheur qui s’affirmait
La fourbe jalousie de l’extérieur s’engageait
Elle s’était fabriquée au sein notre aventure sublimée, depuis une sombre contrée
Les regards des autres traversèrent notre union, tel des lames affinées
Nous les subissions, les traversions, les surpassions, mais rien ne pouvait nous arrêter
J’étais Adam, elle était Eve
Notre amour était là, sans peine, sans trêves
Mais une femme, alors jalouse de ma moitié
Me voulait profondément mais je l’ai, au début, rejeté
Cependant elle était belle , elle aussi, un fruit des tentations
Mais en une soirée, sous l‘effet de l‘ivresse, j’ai croqué dans la pomme, sans attention
Je fut abusé, c’est alors qu’elle décida de s’immiscer partout, d’abimer notre paradis
Depuis, notre monde changea, dépassant les dits et les non-dits
Le serpent de la genèse attendit son heure pour parfaire sa mission
Pour atteindre son but, pour détruire notre passion
Les mois défilèrent, et ma belle se rebelle
Me croyant pêcheur et infidèle, sûre d’elle
Le serpent l’avait convaincu de notre rencontre incongru
Et la persuader de mon amour je n’ai pu, j’étais perdu
Aujourd’hui, tu hantes mes pensées, mais le téléphone sonne
J’entend un appel a l‘aide, je raisonne
On me demande, dans un grand bâtiment, j’accoure
Je pense, je viens vers toi mon ange, je cours
J’arrive devant toi, ici, sous ce toit
Trop tard, je ne crois pas ce que je vois
Tu es là, je te regarde, ma bien aimée
Couchée sur le lit, Princesse des fées
Mais ton regard est étrange, tes yeux sont clos
Que voulait tu me dire ? Quel est-ce secret qui animaient tes mots ?
Est-ce un mystère inviolé qui constitue tes maux ?
Pourquoi suis-je ici, dans ce lieu si étrange, dépourvu de sentiments?
L’homme en blanc semble le savoir, mais pour me le dire, il n’a pas trouvé le moment
Que tu es belle avec tes sublimes cheveux bruns, qui font que mon cœur, implose
Mais tu es pâle aujourd‘hui, et j’aimerai en connaitre la cause
Mes yeux s’abandonnent et se noient vers la grâce qui te définie
Mais pourquoi tant de chahuts autour de toi, arrives-tu à te détendre ici ?
Je te vois, frêle et jolie, dans ce corps embelli, que même Dieu contempla
Mais une chose me tracasse et m’interpelle, toutes ces machines et ces outils, ici et là
Pourtant, je reste subjugué par ton immense sensualité qui m’a tant fait frémir
Mais tu ne te réveille pas, étrange, ce n’est pas le moment pour dormir
Tu es moi, je suis toi, nous sommes nous, mon cœur est tient
Mais pourquoi ne me regarde tu pas une nouvelle fois, pour rebaptiser notre lien
Mon cœur se déchire à l’écoute de ta voix, la blessure de l’amour s’ouvre sans arrêt
Mais je ne les entend plus, je ne le vois plus, ces grands baisés que tu as tant semé
Je prie le Seigneur pour me garder près de toi, pour l’éternité, et rien ne se perdra
Mais que sont ces grandes larmes rouges qui débordent de tes vêtements et de tes draps ?
Accompagne moi dans notre ultime félicité, vers l’extase de la passion !
Mais pourquoi cesse-tu de respirer ? Ton cœur ne bat plus au rythme de l’union !
L’homme en blanc me prévient, maintenant je sais, mon Ange Maître
Mais je reviendrai pour toi, mon amour de tout temps, ma raison d’être
Je veux survivre, vivre et mourir avec toi
Mais ton corps ne semble ne plus avoir foi
Devant ce lit d’hôpital, je t’aimerai, je t‘aime et je t’ai aimé
Seulement tu es morte, tu t’es suicidée.
(Pure fiction, fait avec passion...)
Ainsi se mène et se démène, cette histoire que je vais vous conter
Dans la peau d’un homme, d’un garçon, dans les profondeurs de ses pensées…
Un beau jour de décembre, je parcourais les pavés de Paris
J’étais enjoué, joyeux, voyageant sur une musique de Lully
Je cherchais une adresse, une rue, un bâtiment, pour mon prochain emploi
Mais je n’apercevais que des oiseaux, des touristes, des cafés et des voix
Perdu, fatigué, je m’assis en face du Trocadero pour me reposer un peu
J’avais presque atteint mon but, mais j’ignorais à quel point les prochaines secondes allaient me rendre heureux
Elle était devant moi, l’objet de mes désirs, le fruit de mes passions
Un ange marchait devant moi, livre à la main, bouleversant mes visions
Nous étions en plein hiver, et pourtant il restait une fleur
J’ignorais que la nature avait ce don, de créer l’incarnation de la beauté des stupeurs
Pétrifié, je l’ai abordé, je l’ai apprécié, puis je l’ai rappelé
Un jour, notre grande complicité était né, puis je l’ai aimé
Elle aussi, elle a apprit à m’aimer, ce jour où elle ma prit par le bras
Ainsi nos jours heureux déchirèrent le ciel de ces cents éclats
Dans notre plus grand bonheur qui s’affirmait
La fourbe jalousie de l’extérieur s’engageait
Elle s’était fabriquée au sein notre aventure sublimée, depuis une sombre contrée
Les regards des autres traversèrent notre union, tel des lames affinées
Nous les subissions, les traversions, les surpassions, mais rien ne pouvait nous arrêter
J’étais Adam, elle était Eve
Notre amour était là, sans peine, sans trêves
Mais une femme, alors jalouse de ma moitié
Me voulait profondément mais je l’ai, au début, rejeté
Cependant elle était belle , elle aussi, un fruit des tentations
Mais en une soirée, sous l‘effet de l‘ivresse, j’ai croqué dans la pomme, sans attention
Je fut abusé, c’est alors qu’elle décida de s’immiscer partout, d’abimer notre paradis
Depuis, notre monde changea, dépassant les dits et les non-dits
Le serpent de la genèse attendit son heure pour parfaire sa mission
Pour atteindre son but, pour détruire notre passion
Les mois défilèrent, et ma belle se rebelle
Me croyant pêcheur et infidèle, sûre d’elle
Le serpent l’avait convaincu de notre rencontre incongru
Et la persuader de mon amour je n’ai pu, j’étais perdu
Aujourd’hui, tu hantes mes pensées, mais le téléphone sonne
J’entend un appel a l‘aide, je raisonne
On me demande, dans un grand bâtiment, j’accoure
Je pense, je viens vers toi mon ange, je cours
J’arrive devant toi, ici, sous ce toit
Trop tard, je ne crois pas ce que je vois
Tu es là, je te regarde, ma bien aimée
Couchée sur le lit, Princesse des fées
Mais ton regard est étrange, tes yeux sont clos
Que voulait tu me dire ? Quel est-ce secret qui animaient tes mots ?
Est-ce un mystère inviolé qui constitue tes maux ?
Pourquoi suis-je ici, dans ce lieu si étrange, dépourvu de sentiments?
L’homme en blanc semble le savoir, mais pour me le dire, il n’a pas trouvé le moment
Que tu es belle avec tes sublimes cheveux bruns, qui font que mon cœur, implose
Mais tu es pâle aujourd‘hui, et j’aimerai en connaitre la cause
Mes yeux s’abandonnent et se noient vers la grâce qui te définie
Mais pourquoi tant de chahuts autour de toi, arrives-tu à te détendre ici ?
Je te vois, frêle et jolie, dans ce corps embelli, que même Dieu contempla
Mais une chose me tracasse et m’interpelle, toutes ces machines et ces outils, ici et là
Pourtant, je reste subjugué par ton immense sensualité qui m’a tant fait frémir
Mais tu ne te réveille pas, étrange, ce n’est pas le moment pour dormir
Tu es moi, je suis toi, nous sommes nous, mon cœur est tient
Mais pourquoi ne me regarde tu pas une nouvelle fois, pour rebaptiser notre lien
Mon cœur se déchire à l’écoute de ta voix, la blessure de l’amour s’ouvre sans arrêt
Mais je ne les entend plus, je ne le vois plus, ces grands baisés que tu as tant semé
Je prie le Seigneur pour me garder près de toi, pour l’éternité, et rien ne se perdra
Mais que sont ces grandes larmes rouges qui débordent de tes vêtements et de tes draps ?
Accompagne moi dans notre ultime félicité, vers l’extase de la passion !
Mais pourquoi cesse-tu de respirer ? Ton cœur ne bat plus au rythme de l’union !
L’homme en blanc me prévient, maintenant je sais, mon Ange Maître
Mais je reviendrai pour toi, mon amour de tout temps, ma raison d’être
Je veux survivre, vivre et mourir avec toi
Mais ton corps ne semble ne plus avoir foi
Devant ce lit d’hôpital, je t’aimerai, je t‘aime et je t’ai aimé
Seulement tu es morte, tu t’es suicidée.
(Pure fiction, fait avec passion...)