C'était une sycophante, mon âme était vendue.
Elle dressait mon portait pour les fourches caudines.
Elle appelait nature, l'invention anodine
que son âme créait pensant fort m'avoir vu.
Elle dénonçait le mal, voyait si peu le bien.
Son regard écorchait parfois mon faible coeur.
Elle étouffait ma voix et parlait de ses soeurs.
Mais au fond, elle sentait que nous avions un lien.
Elle levait l'émotion comme un levain puissant,
Et son corps aiguisait toutes mes ambitions.
Comme une arme au tranchant dépourvu de lésions.
Je vivais pour son être, elle vivait sans me voir,
Je devenais aveugle, elle retrouvait la vue,
Et la fin arriva, mais était-ce voulu ?
Elle dressait mon portait pour les fourches caudines.
Elle appelait nature, l'invention anodine
que son âme créait pensant fort m'avoir vu.
Elle dénonçait le mal, voyait si peu le bien.
Son regard écorchait parfois mon faible coeur.
Elle étouffait ma voix et parlait de ses soeurs.
Mais au fond, elle sentait que nous avions un lien.
Elle levait l'émotion comme un levain puissant,
Et son corps aiguisait toutes mes ambitions.
Comme une arme au tranchant dépourvu de lésions.
Je vivais pour son être, elle vivait sans me voir,
Je devenais aveugle, elle retrouvait la vue,
Et la fin arriva, mais était-ce voulu ?