Merci de ne pas mettre de commentaire
Poème posté le 3 mai à 00 h 30
Bonne fête Jacques... Bises
Poème posté le 3 mai à 00 h 30
Bonne fête Jacques... Bises
Le jardin de l’amitié
Il est un beau jardin
Situé à Paris
Exhalant le parfum
Du printemps bien joli
Où les fleurs offrent aux yeux
Un tableau si charmant
Un décor chaleureux
Les bancs pour confidents
C’était il y a deux ans
Le trois du mois de mai
Tous deux nous rencontrant
Dans la réalité
J’avais cru qu’il pleuvrait
Le temps était couvert
Mais le soleil filtrait
De sa douce lumière
Tu m’attendais assis
Contre la grille du muret
Je t’ai vu j’ai souri
Quand vers toi j’avançais
Alors tu t’es levé
Rayonnant et charmant
Petite je me sentais
Face à toi tellement grand
Nous nous sommes embrassés
Un peu intimidés
Et nous avons marché
Le long d’une grande allée
Des parterres colorés
De tulipes magnifiques
Soudain nous enchantaient
Puis survint la musique
De l’eau dans le bassin
Où des chaises attendaient
Nos mots tels des câlins
Et toutes nos pensées
Mais le temps passa vite
En paroles en sourires
Rien n’arrête sa fuite
C’était l’heure de partir
Nous nous sommes dit « au revoir »
D’un signe de la main
Gardant dans nos mémoires
Ce moment de satin
Il est un beau jardin
Du nom de Luxembourg
Exhalant le parfum
D’une rencontre velours
***
UNE BELLE RENCONTRE
Avant la rencontre
Duo Sabine et Jacques
De façon cavalière
Naturelle spontanée
Sans fard et sans manière
Rendez-vous est donné
A Paris le 3 mai
Place à l'improvisé
Jardin du Luxembourg
Je me languis ce jour
Un rendez-vous tu m'as donné
J'en ai été émotionné
Car je ne m'y attendais pas
De suite j'ai dit me voilà
Surpris et ravi à la fois
Se voir pour la première fois
Tu as eu une bonne idée
Mais je vais être intimidé
De ta part c'est vraiment très fou
Donner rendez-vous n'importe où
A un petit vieux inconnu
Alors qu'on ne s'est jamais vu
L'occasion se présentait
Il ne fallait pas la manquer
Souvent à vouloir réfléchir
On passe à côté d'un plaisir
Tu as vite commandé
Un beau soleil doré
Pour nous accompagner
Le temps de se parler
Mais si la pluie survient
Nous irons au café
Pour fuir ses larmes chagrin
Tous deux se réchauffer
Dis ce n'est pas une illusion
Moi je crois aux apparitions
D'un très beau rendez-vous magique
Entre deux âmes poétiques
J'apporterai des petits tours
Non pas pour te faire la cour
Ni pour te faire disparaître
Mais plutôt joie faire apparaître
Un peu d'appréhension
Avant cette entrevue
Chassée par l'émotion
Les bras ouverts tendus
A moins que je me trompe
Et que ce soit un flop
... sourire...
Et moi aussi je me languis
De se voir en vrai mon amie
J'attends pour te dire bonjour
Avec beaucoup de joie ce jour
Le jour de la rencontre
Enfin est arrivé
Le vendredi 3 mai
Le soleil en ami
Sur le parc resplendit
Un peu d'appréhension
Et beaucoup d'émotion
Je sens mon coeur qui bat
Je sens trembler ma voix
Et mon regard s'égare
Scrutant sur le trottoir
Tout le flot de passants
Et la foule de gens
Et puis j'ai aperçu
Parmi les inconnus
Un homme mince et grand
Assis et attendant
Un peu intimidée
Je me suis approchée
Et dès qu'il m'a souri
J'ai su que c'était lui
Un bonjour très discret
Mon mari s'éclipsait
Nous laissant savourer
En toute intimité
Ce moment délicieux
Faisant sourire nos yeux
Nos âmes et nos coeurs
Récitant le bonheur
Une rencontre de charme
Entre un homme une femme
Baignée dans la couleur
D'une amitié douceur
Jolie complicité
Tendresse partagée
Au revoir Lapin Glycine
Bonjour Jacques et Sabine
9 mai 2013
***
UNE ALLÉE DU LUXEMBOURG
Elle a passé la jeune fille
Vive et preste comme un oiseau :
À la main une fleur qui brille,
À la bouche un refrain nouveau.
C’est peut-être la seule au monde
Dont le cœur au mien répondrait,
Qui venant dans ma nuit profonde
D’un seul regard l’éclaircirait !
Mais non, -ma jeunesse est finie…
Adieu, doux rayon qui m’a lui,-
Parfum, jeune fille, harmonie…
Le bonheur passait, il a fui !
Poème de Gérard de Nerval (1832)
***
Une allée du Luxembourg
3 Mai 2013
Elle a passé la jeune dame
Alerte et gaie comme un pinson
Dans ses doux yeux brille une flamme
Et à la bouche une chanson
Cette dame, de joie abonde
Et son cœur débordant d’Amour
Éclairerait ma nuit profonde
D’une belle amitié, chaque jour
Mais oui, -ma vieillesse commence
Bonjour, jolie fleur qui sourit
Douce, jeune dame, élégance
Le bonheur passait, je l’ai pris
Jacques
Il est un beau jardin
Situé à Paris
Exhalant le parfum
Du printemps bien joli
Où les fleurs offrent aux yeux
Un tableau si charmant
Un décor chaleureux
Les bancs pour confidents
C’était il y a deux ans
Le trois du mois de mai
Tous deux nous rencontrant
Dans la réalité
J’avais cru qu’il pleuvrait
Le temps était couvert
Mais le soleil filtrait
De sa douce lumière
Tu m’attendais assis
Contre la grille du muret
Je t’ai vu j’ai souri
Quand vers toi j’avançais
Alors tu t’es levé
Rayonnant et charmant
Petite je me sentais
Face à toi tellement grand
Nous nous sommes embrassés
Un peu intimidés
Et nous avons marché
Le long d’une grande allée
Des parterres colorés
De tulipes magnifiques
Soudain nous enchantaient
Puis survint la musique
De l’eau dans le bassin
Où des chaises attendaient
Nos mots tels des câlins
Et toutes nos pensées
Mais le temps passa vite
En paroles en sourires
Rien n’arrête sa fuite
C’était l’heure de partir
Nous nous sommes dit « au revoir »
D’un signe de la main
Gardant dans nos mémoires
Ce moment de satin
Il est un beau jardin
Du nom de Luxembourg
Exhalant le parfum
D’une rencontre velours
***
UNE BELLE RENCONTRE
Avant la rencontre
Duo Sabine et Jacques
De façon cavalière
Naturelle spontanée
Sans fard et sans manière
Rendez-vous est donné
A Paris le 3 mai
Place à l'improvisé
Jardin du Luxembourg
Je me languis ce jour
Un rendez-vous tu m'as donné
J'en ai été émotionné
Car je ne m'y attendais pas
De suite j'ai dit me voilà
Surpris et ravi à la fois
Se voir pour la première fois
Tu as eu une bonne idée
Mais je vais être intimidé
De ta part c'est vraiment très fou
Donner rendez-vous n'importe où
A un petit vieux inconnu
Alors qu'on ne s'est jamais vu
L'occasion se présentait
Il ne fallait pas la manquer
Souvent à vouloir réfléchir
On passe à côté d'un plaisir
Tu as vite commandé
Un beau soleil doré
Pour nous accompagner
Le temps de se parler
Mais si la pluie survient
Nous irons au café
Pour fuir ses larmes chagrin
Tous deux se réchauffer
Dis ce n'est pas une illusion
Moi je crois aux apparitions
D'un très beau rendez-vous magique
Entre deux âmes poétiques
J'apporterai des petits tours
Non pas pour te faire la cour
Ni pour te faire disparaître
Mais plutôt joie faire apparaître
Un peu d'appréhension
Avant cette entrevue
Chassée par l'émotion
Les bras ouverts tendus
A moins que je me trompe
Et que ce soit un flop
... sourire...
Et moi aussi je me languis
De se voir en vrai mon amie
J'attends pour te dire bonjour
Avec beaucoup de joie ce jour
Le jour de la rencontre
Enfin est arrivé
Le vendredi 3 mai
Le soleil en ami
Sur le parc resplendit
Un peu d'appréhension
Et beaucoup d'émotion
Je sens mon coeur qui bat
Je sens trembler ma voix
Et mon regard s'égare
Scrutant sur le trottoir
Tout le flot de passants
Et la foule de gens
Et puis j'ai aperçu
Parmi les inconnus
Un homme mince et grand
Assis et attendant
Un peu intimidée
Je me suis approchée
Et dès qu'il m'a souri
J'ai su que c'était lui
Un bonjour très discret
Mon mari s'éclipsait
Nous laissant savourer
En toute intimité
Ce moment délicieux
Faisant sourire nos yeux
Nos âmes et nos coeurs
Récitant le bonheur
Une rencontre de charme
Entre un homme une femme
Baignée dans la couleur
D'une amitié douceur
Jolie complicité
Tendresse partagée
Au revoir Lapin Glycine
Bonjour Jacques et Sabine
9 mai 2013
***
UNE ALLÉE DU LUXEMBOURG
Elle a passé la jeune fille
Vive et preste comme un oiseau :
À la main une fleur qui brille,
À la bouche un refrain nouveau.
C’est peut-être la seule au monde
Dont le cœur au mien répondrait,
Qui venant dans ma nuit profonde
D’un seul regard l’éclaircirait !
Mais non, -ma jeunesse est finie…
Adieu, doux rayon qui m’a lui,-
Parfum, jeune fille, harmonie…
Le bonheur passait, il a fui !
Poème de Gérard de Nerval (1832)
***
Une allée du Luxembourg
3 Mai 2013
Elle a passé la jeune dame
Alerte et gaie comme un pinson
Dans ses doux yeux brille une flamme
Et à la bouche une chanson
Cette dame, de joie abonde
Et son cœur débordant d’Amour
Éclairerait ma nuit profonde
D’une belle amitié, chaque jour
Mais oui, -ma vieillesse commence
Bonjour, jolie fleur qui sourit
Douce, jeune dame, élégance
Le bonheur passait, je l’ai pris
Jacques
Dernière édition: