Longues et fines écorces
puisant de la terre
nombre d'infine force
tu gonfles dans l'aire
et pénètre le torse
de mère la terre
qui est aussi notre fosse
Mais brûlant en enfer
et conduisant l'éclaire
jusqu'au coeur de ma mère
malgré tous tu m'es chère
réchauffant nos tanières
de ce monstre sans chaire
qui est nommé l'hiver
Et purifiant notre aire
tu disparais de l'ère
de ces bonhommes de chaires
qui ne pensent qu'à faire
malgré notre atmosphère
de beaux grands champs de terre
devenant nos cimetières
Alors en un revers
ouvrez grand la fenêtre
contemplez le grand vert
qui va sûremet vous plaire
car il nous a offert
le plus beau, le moins chère
des poèmes, des vers.
puisant de la terre
nombre d'infine force
tu gonfles dans l'aire
et pénètre le torse
de mère la terre
qui est aussi notre fosse
Mais brûlant en enfer
et conduisant l'éclaire
jusqu'au coeur de ma mère
malgré tous tu m'es chère
réchauffant nos tanières
de ce monstre sans chaire
qui est nommé l'hiver
Et purifiant notre aire
tu disparais de l'ère
de ces bonhommes de chaires
qui ne pensent qu'à faire
malgré notre atmosphère
de beaux grands champs de terre
devenant nos cimetières
Alors en un revers
ouvrez grand la fenêtre
contemplez le grand vert
qui va sûremet vous plaire
car il nous a offert
le plus beau, le moins chère
des poèmes, des vers.