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Le fou

OLIVIERW

Maître Poète
#1
Le fou

Le temps s'écoule et je suis seul, désespéré
La terre vient de périr, le soleil s'est éteint
L'univers a rendu l'âme, la vie qui habitait
L'espace est en larmes, elle pleure depuis ce matin.

Je connais mon pire ennemi, il a mes traits
Je le vois dans le miroir de l’âme, il détruit
Tel l’océan, mes certitudes, sous des attraits
Flatteurs, il me met le doute et m’apporte l’ennui.

Je combats des idées noires, des pensées moroses
Qui minent, rongent depuis des années, mon esprit
A quoi sert de croire si l’espoir est mis en cause
Par des images négatives troublant mes nuits.

La face sombre de mon être me porte préjudice
Il faut réagir, éliminer ces états
De défaite comment réussir et faire justice
Tuer ce mal, ne pas vivre en renégat.

J'ai dans la tête comme un tourbillon de folie
Qui ravage ma raison, je ne peux exprimer
Sans danger les atroces douleurs que j'ai la nuit
Les mots ne servent à rien pour dire qu'on a souffert.

J'ai mal de solitude du cœur et de l'esprit
Douleur lancinante qui meurtrit ma chair, mon âme
Je suis seul entouré d'ombres qui paraissent sans vie
J'ai besoin d'aimer et d'être aimé par une femme.

Je me sens incompris, isolé et exclu
Sentiment de tristesse et de grand désespoir
J'ai pour prison de vains espoirs où je suis reclus
Perdu dans des pensées dont l'abîme est si noir.

Je marche dans les rues en quête d'aventure, fixant
Des yeux les regards froids des passants empressés
Aucune main ne se tend vers moi, je reste là sombrant
Dans une mélancolie qui me rend affligé.

De regards attristés en visages contristés
Et puis de bonheur perdu en malheur venu
Je fuis mon destin comme un pauvre hère affolé
Un soleil noir me hante mais il reste inconnu.

J'ai la folie dans l'esprit, un obscur délire
Qui me transforme chaque jour en proie torturée
Au fil du temps, la vie coule sans aucun plaisir
L'alcool me joue des tours et j'en suis tout troublé.

La mort est ma maîtresse dans ses bras qui m'enlacent
Je connais les cauchemars de la nuit, au seuil
De l'oubli, noyant mes rêves de gloire, elle est lasse
De me voir ici bas et veut porter le deuil.

 

coquelicot

Maître Poète
#3
Le fou

Le temps s'écoule et je suis seul, désespéré
La terre vient de périr, le soleil s'est éteint
L'univers a rendu l'âme, la vie qui habitait
L'espace est en larmes, elle pleure depuis ce matin.


Je connais mon pire ennemi, il a mes traits
Je le vois dans le miroir de l’âme, il détruit
Tel l’océan, mes certitudes, sous des attraits
Flatteurs, il me met le doute et m’apporte l’ennui.


Je combats des idées noires, des pensées moroses
Qui minent, rongent depuis des années, mon esprit
A quoi sert de croire si l’espoir est mis en cause
Par des images négatives troublant mes nuits.


La face sombre de mon être me porte préjudice
Il faut réagir, éliminer ces états
De défaite comment réussir et faire justice
Tuer ce mal, ne pas vivre en renégat.


J'ai dans la tête comme un tourbillon de folie
Qui ravage ma raison, je ne peux exprimer
Sans danger les atroces douleurs que j'ai la nuit
Les mots ne servent à rien pour dire qu'on a souffert.


J'ai mal de solitude du cœur et de l'esprit
Douleur lancinante qui meurtrit ma chair, mon âme
Je suis seul entouré d'ombres qui paraissent sans vie
J'ai besoin d'aimer et d'être aimé par une femme.


Je me sens incompris, isolé et exclu
Sentiment de tristesse et de grand désespoir
J'ai pour prison de vains espoirs où je suis reclus
Perdu dans des pensées dont l'abîme est si noir.


Je marche dans les rues en quête d'aventure, fixant
Des yeux les regards froids des passants empressés
Aucune main ne se tend vers moi, je reste là sombrant
Dans une mélancolie qui me rend affligé.


De regards attristés en visages contristés
Et puis de bonheur perdu en malheur venu
Je fuis mon destin comme un pauvre hère affolé
Un soleil noir me hante mais il reste inconnu.


J'ai la folie dans l'esprit, un obscur délire
Qui me transforme chaque jour en proie torturée
Au fil du temps, la vie coule sans aucun plaisir
L'alcool me joue des tours et j'en suis tout troublé.


La mort est ma maîtresse dans ses bras qui m'enlacent
Je connais les cauchemars de la nuit, au seuil
De l'oubli, noyant mes rêves de gloire, elle est lasse
De me voir ici bas et veut porter le deuil.
J aurais pu écrire ce poème....marrant...