Le faux air de ma sœur.
D"après Le faussaire des cœurs de Lilasys
Il a peint l'onirisme de ses toiles blanches et jamais ne s'en lasse,
C'est la face souriante qui déteint, elle n'en est que la préface
C'est ce diable innocent qui apparaît et qui nous nuit,
Accompagnant sur la rive dans ces larmes qui fuient.
La grêle en averse sur nous tombe tout à coup,
Dans un immense vacarme qui rend tous les gens fous,
Envie entremêlée de bonheur qui enlève l'effroi,
Dans ce carnaval de grosses têtes quelquefois.
L'hiver attendra, il jette un froid au bonheur,
Celui qui doit reluire et repousser les malheurs,
Pour remplir enfin les affres de la vie à grands pas,
Et être ce grand rêve tous les jours pour faire cas.
La magie n'y est pour rien et il ne tient qu'à mon chapeau,
Qui même s'il est pointu, de sa plume il aime l'amitié,
Sans jamais se taire, elle forge l'amour dans ses grands taux,
Pour être intarissable avec sa muse de ses mots animer.
D"après Le faussaire des cœurs de Lilasys
Il a peint l'onirisme de ses toiles blanches et jamais ne s'en lasse,
C'est la face souriante qui déteint, elle n'en est que la préface
C'est ce diable innocent qui apparaît et qui nous nuit,
Accompagnant sur la rive dans ces larmes qui fuient.
La grêle en averse sur nous tombe tout à coup,
Dans un immense vacarme qui rend tous les gens fous,
Envie entremêlée de bonheur qui enlève l'effroi,
Dans ce carnaval de grosses têtes quelquefois.
L'hiver attendra, il jette un froid au bonheur,
Celui qui doit reluire et repousser les malheurs,
Pour remplir enfin les affres de la vie à grands pas,
Et être ce grand rêve tous les jours pour faire cas.
La magie n'y est pour rien et il ne tient qu'à mon chapeau,
Qui même s'il est pointu, de sa plume il aime l'amitié,
Sans jamais se taire, elle forge l'amour dans ses grands taux,
Pour être intarissable avec sa muse de ses mots animer.