Il s'est endormi , lentement , emportant " Aline " au fond de lui
les dunes se sont fermées , autour d " elle
et les mots couleur bleus qui puisaient sur le quai huit .
les silences non éperdus qui sonnaient sur le piano blanc,
quand les bémols retentissait de ma naissance ,(64)
quand les meilleurs jazzy and blues , luisaient sur temps
les frêles grillons qui le faisait rêver , sur le tapis ,
quand il grattait la guitare des années soixante
J' étais née, . l' autre non, de sa grêve stupide d'ici
l' auteur de vie, d'un fond d un varois monégasque,
qui se jetait sur l'étendue de la baie des anges ,
quand mon blues rencontrait le meilleur comme un vase d' Ascq
les mots si bleus ,de mon quai ,de mon année ,
les horloges de ma vie qui roulaient sur routes,
sur la route , pas plus que ma vie sur les bordées ,
sans une marionnette au bout de ses doigts,
Samyelle ' étais plus la sienne , ,PARIS toi , Mon Paris
au bout de ma concorde avec le hautbois ,
La vie ne s' épuise encore ,et mes larmes,
qui coulent coulent encore, sur les " rames"
quand sa voix d'un paradis perdus , de lui, et mes armes
les nuits dont j' étais éveillé sur mon Paris gris , sa date ,
sur le parvis pas loin de mon Ile Saint louis,
quand Samyelle i et Chris -tophe ne faisait qu'un
Mai 1964- 1965 ( merci Bevillacqua )
Kiss de Samyelle
www.FLSamyelle@fr
les dunes se sont fermées , autour d " elle
et les mots couleur bleus qui puisaient sur le quai huit .
les silences non éperdus qui sonnaient sur le piano blanc,
quand les bémols retentissait de ma naissance ,(64)
quand les meilleurs jazzy and blues , luisaient sur temps
les frêles grillons qui le faisait rêver , sur le tapis ,
quand il grattait la guitare des années soixante
J' étais née, . l' autre non, de sa grêve stupide d'ici
l' auteur de vie, d'un fond d un varois monégasque,
qui se jetait sur l'étendue de la baie des anges ,
quand mon blues rencontrait le meilleur comme un vase d' Ascq
les mots si bleus ,de mon quai ,de mon année ,
les horloges de ma vie qui roulaient sur routes,
sur la route , pas plus que ma vie sur les bordées ,
sans une marionnette au bout de ses doigts,
Samyelle ' étais plus la sienne , ,PARIS toi , Mon Paris
au bout de ma concorde avec le hautbois ,
La vie ne s' épuise encore ,et mes larmes,
qui coulent coulent encore, sur les " rames"
quand sa voix d'un paradis perdus , de lui, et mes armes
les nuits dont j' étais éveillé sur mon Paris gris , sa date ,
sur le parvis pas loin de mon Ile Saint louis,
quand Samyelle i et Chris -tophe ne faisait qu'un
Mai 1964- 1965 ( merci Bevillacqua )
Kiss de Samyelle
www.FLSamyelle@fr
Dernière édition: