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Le chant du mimosa
C’est le vent qui tournoie en ce long souffle froid
Où le blond mimosa qui fleure bon l’ivresse
Voit le charme du temps quand il se tient bien droit ;
Du parfum éternel suit ma main la caresse
Jamais je ne consens au déclin de la nuit
D’où se pose si peu le silence à minuit,
Et je sens sous la nue une tendre fragrance
Émergeant de plaisir quand la lune s’étend
D’une blanche couleur sous l’éther grelottant,
Que porte jusqu’au cœur aux gemmes l’endurance ;
Le jardin s’offre encore une robe de gel
Déposé doucement sur la plus belle rose
Enchantant le décor, l’espoir d’un rituel
D’un hiver qui s’enfuit vers un printemps réel
Car c’est au petit jour qu’une averse l’arrose…
Maria-Dolores
C’est le vent qui tournoie en ce long souffle froid
Où le blond mimosa qui fleure bon l’ivresse
Voit le charme du temps quand il se tient bien droit ;
Du parfum éternel suit ma main la caresse
Jamais je ne consens au déclin de la nuit
D’où se pose si peu le silence à minuit,
Et je sens sous la nue une tendre fragrance
Émergeant de plaisir quand la lune s’étend
D’une blanche couleur sous l’éther grelottant,
Que porte jusqu’au cœur aux gemmes l’endurance ;
Le jardin s’offre encore une robe de gel
Déposé doucement sur la plus belle rose
Enchantant le décor, l’espoir d’un rituel
D’un hiver qui s’enfuit vers un printemps réel
Car c’est au petit jour qu’une averse l’arrose…
Maria-Dolores