Verrais-tu le vrai bonheur
Si tu n’avais pas gouté au malheur.
Saurais-tu identifier les nuances des couleurs
S’il n y avait pas cette belle lumière.
Saurais-tu connaître cette lumière
S’il n’ y avait pas la noirceur des nuits.
Saurais-tu évaluer ta grande force
S’il n’y avait pas autour de toi des faibles.
Saurais-tu que tu es un obtus
S’il n'y avait pas l’intelligent.
Saurais-tu ressentir la douleur
S’il n’y avait pas ce plaisir de soulagement.
Saurais-tu savourer le plaisir de la joie
S’il n’y avait pas cette malheureuse tristesse.
Saurais-tu admirer le plaisir de ta beauté
S’il n’y avait pas autour de toi ces laids.
Saurais-tu connaitre et admirer ces êtres si bons
S’il n’y avait pas l’existence de ces diaboliques.
Saurais-tu pourquoi use-t-on de la vertu de patience
S’il n y avait pas ces dadais énervants.
Saurais-tu savourer le plaisir de l’Amour
S’il n y avait pas ces cascades de déceptions sentimentales.
Saurais-tu bien goûter au plaisir de la victoire
S’il n y avait pas ces adversaires farouches, finalement.
Tu sauras qu’on t’aura donné une chance de vivre
Lorsque Celui qui t’a donné l’âme te l’ôtera.
Ahmed 2010-01-16
Si tu n’avais pas gouté au malheur.
Saurais-tu identifier les nuances des couleurs
S’il n y avait pas cette belle lumière.
Saurais-tu connaître cette lumière
S’il n’ y avait pas la noirceur des nuits.
Saurais-tu évaluer ta grande force
S’il n’y avait pas autour de toi des faibles.
Saurais-tu que tu es un obtus
S’il n'y avait pas l’intelligent.
Saurais-tu ressentir la douleur
S’il n’y avait pas ce plaisir de soulagement.
Saurais-tu savourer le plaisir de la joie
S’il n’y avait pas cette malheureuse tristesse.
Saurais-tu admirer le plaisir de ta beauté
S’il n’y avait pas autour de toi ces laids.
Saurais-tu connaitre et admirer ces êtres si bons
S’il n’y avait pas l’existence de ces diaboliques.
Saurais-tu pourquoi use-t-on de la vertu de patience
S’il n y avait pas ces dadais énervants.
Saurais-tu savourer le plaisir de l’Amour
S’il n y avait pas ces cascades de déceptions sentimentales.
Saurais-tu bien goûter au plaisir de la victoire
S’il n y avait pas ces adversaires farouches, finalement.
Tu sauras qu’on t’aura donné une chance de vivre
Lorsque Celui qui t’a donné l’âme te l’ôtera.
Ahmed 2010-01-16