Mon coeur lui, me crit que je le regretterai
Quant à ma raison, elle me rassure pour ne pas flancher
Un choix pour mon avenir ce matin j'ai décidé
Convaincu d'être le bon : "de toi je pars" je le lui ai annoncé.
Mais là se pose la question : était ce le bon choix ?
Balloter entre la peur et le doute, seul le temps me le dira
De toutes pièces j'imaginais ma vie dans ses bras
Mais stop ! Ce ne sont que des souvenirs d'autrefois.
Il ose à chaque instant m'infliger une souffrance
Avard que son âme renferme, il m'en délivre guere l'ordonnance
Celle qui tenterait de secher mes larmes coulant en abondance
Un seul entidote et je lui vouerai une immence reconnaissance.
Mes cahiers me supplient de, ma plume freiner
Trop lourd est le poid de mes poemes dictés
Chaque lignes sont de ma douleur imbibées
Mes pages, fatiguées, ne peuvent d'avantage supporter.
Notre parcourt ne semble qu'un mirage
Pourtant, en moi est encore si present son visage
Je ferais de nos souvenirs des oublis au fil des âges
Notre amour sur le rivage a fait naufrage.
Ne plus le pencer ni réflechir
A quoi bon à moi même me mentir
Le souffle d'un amour perdu mon esprit a voulu conquerir
J'en paies le prix je ne peux donc que souffrir...
Quant à ma raison, elle me rassure pour ne pas flancher
Un choix pour mon avenir ce matin j'ai décidé
Convaincu d'être le bon : "de toi je pars" je le lui ai annoncé.
Mais là se pose la question : était ce le bon choix ?
Balloter entre la peur et le doute, seul le temps me le dira
De toutes pièces j'imaginais ma vie dans ses bras
Mais stop ! Ce ne sont que des souvenirs d'autrefois.
Il ose à chaque instant m'infliger une souffrance
Avard que son âme renferme, il m'en délivre guere l'ordonnance
Celle qui tenterait de secher mes larmes coulant en abondance
Un seul entidote et je lui vouerai une immence reconnaissance.
Mes cahiers me supplient de, ma plume freiner
Trop lourd est le poid de mes poemes dictés
Chaque lignes sont de ma douleur imbibées
Mes pages, fatiguées, ne peuvent d'avantage supporter.
Notre parcourt ne semble qu'un mirage
Pourtant, en moi est encore si present son visage
Je ferais de nos souvenirs des oublis au fil des âges
Notre amour sur le rivage a fait naufrage.
Ne plus le pencer ni réflechir
A quoi bon à moi même me mentir
Le souffle d'un amour perdu mon esprit a voulu conquerir
J'en paies le prix je ne peux donc que souffrir...