Un bâton sculpté et ferré à la main,
Le dos vers la terre légèrement courbé,
Il marche, d'un pas souple et spiritain.
Son regard lumineux tel un gamin,
Apaise et surveille les moutons,
Le chien suiveur et lui, ne font qu'un.
Dans le matin , crissent les souliers,
Il emmène en transhumance
Son fidèle troupeau, les ovidés.
Par des sentiers escarpés et durs
Sous ses godillots roulent les galets,
On entend sa voix claire et sûre.
Que renvoient en écho les montagnes,
Elles aussi encouragent le troupeau,
Dans l'air flotte un voile de gammes.
Son grand corps ossu et noué,
N'a pas secret pour les sentes perdues,
Les pas sont solides et décidés.
Bientôt ,les sommets verdoyants,
Les brebis iront paitre et s'égayer,
Las , il posera sa canne pour se poser.
Seul, avec lui même , seul avec ses pensées...
Le dos vers la terre légèrement courbé,
Il marche, d'un pas souple et spiritain.
Son regard lumineux tel un gamin,
Apaise et surveille les moutons,
Le chien suiveur et lui, ne font qu'un.
Dans le matin , crissent les souliers,
Il emmène en transhumance
Son fidèle troupeau, les ovidés.
Par des sentiers escarpés et durs
Sous ses godillots roulent les galets,
On entend sa voix claire et sûre.
Que renvoient en écho les montagnes,
Elles aussi encouragent le troupeau,
Dans l'air flotte un voile de gammes.
Son grand corps ossu et noué,
N'a pas secret pour les sentes perdues,
Les pas sont solides et décidés.
Bientôt ,les sommets verdoyants,
Les brebis iront paitre et s'égayer,
Las , il posera sa canne pour se poser.
Seul, avec lui même , seul avec ses pensées...