Moi j’adore les mots ceux écrits d’une plume
Sur une page blanche où s’épanche l’amour
Quand la belle Érato d’un parfum le résume.
Quand la belle Érato d’un parfum le résume.
Dans l’ivresse du temps on dessine un chemin,
Cupidon de son arc vient dévoiler la lune
Aux amants indécis, chante un ciel dès demain.
Cupidon de son arc vient dévoiler la lune
Aux amants indécis, chante un ciel dès demain.
J’entends battre les cœurs dans l’horizon de brume
Et la flamme vacille à l’aube chaque jour,
Le soleil nous dessine un destin sans retour
Quand l’océan s’éveille à la blancheur d’écume.
Et la flamme vacille à l’aube chaque jour,
Le soleil nous dessine un destin sans retour
Quand l’océan s’éveille à la blancheur d’écume.
Nul n’écoute le vent dans un champs de jasmin
Mais je sens son odeur dans ma folle infortune,
Puis dans ce grand silence on espère une main.
Mais je sens son odeur dans ma folle infortune,
Puis dans ce grand silence on espère une main.
Mais voici que l’instant vient poser l’amertume
Dans mon âme égarée aux larmes d’un bonjour,
Moi j’adore les mots ceux écrits d’une plume.
Dans mon âme égarée aux larmes d’un bonjour,
Moi j’adore les mots ceux écrits d’une plume.
Maria-Dolores