Larmes des yeux, larmes du cœur
Goutte d’amour
Qui nait dans mon cœur
Tu arrives n’importe quel jour
A n’importe quelle heure
Perle cristalline
Qui coule de mes yeux
Larme fine
Qui vient d’un aveu
Que tu sois de joie ou de peine
Je te sens monter en moi
De mon émotivité ou de ma haine
Je te sens toujours là
Tu brouilles ma vue
Tu bloques mes pensées
Pourtant tu n’es pas la bienvenue
Mais tu es là à t’incruster
J’essaie de te contrôler
De te retenir
Tu ne cherches qu’à t’évader
Et à partir
J’aimerai me cacher
Peut-être par honte ou par fierté
Où bien pour ne pas montrer
Que je vais pleurer
Je dois me résigner
Et te laisser partir
Car à force d’insister
Je ne peux plus te contenir
Tes sœurs, impatientes, derrière toi
Attendent aussi d’être libérées
Alors c’est plus fort que moi
Et c’est vers toi, mon amour, que vont mes pensées
Je ressens un tel manque de toi
Que je n’ai plus la volonté de les étouffer
Alors j’imagine que tu me serres dans tes bras
Et je me mets à pleurer
Goutte d’amour
Qui nait dans mon cœur
Tu arrives n’importe quel jour
A n’importe quelle heure
Perle cristalline
Qui coule de mes yeux
Larme fine
Qui vient d’un aveu
Que tu sois de joie ou de peine
Je te sens monter en moi
De mon émotivité ou de ma haine
Je te sens toujours là
Tu brouilles ma vue
Tu bloques mes pensées
Pourtant tu n’es pas la bienvenue
Mais tu es là à t’incruster
J’essaie de te contrôler
De te retenir
Tu ne cherches qu’à t’évader
Et à partir
J’aimerai me cacher
Peut-être par honte ou par fierté
Où bien pour ne pas montrer
Que je vais pleurer
Je dois me résigner
Et te laisser partir
Car à force d’insister
Je ne peux plus te contenir
Tes sœurs, impatientes, derrière toi
Attendent aussi d’être libérées
Alors c’est plus fort que moi
Et c’est vers toi, mon amour, que vont mes pensées
Je ressens un tel manque de toi
Que je n’ai plus la volonté de les étouffer
Alors j’imagine que tu me serres dans tes bras
Et je me mets à pleurer