J'ai rencontré un homme,
Je ne crois pas que tu le connaisses
Appuyé contre un énorme orme
Il souriait à l'aube respirant la jeunesse
Je n'avais jamais vu un sourire sous cette forme
Mélangeant l'ironie et la sagesse
Il me parla de la beauté des défauts
Quand l'amour s'effrite et pourtant fut
C'est savoir que les sourires guérissent les maux
C'est savoir que tu ne te réveilleras pas seul et déçu
C'est marcher dans le bonheur, les yeux clôt
C'est d'oublier ce qui ne pourrait être vécu
Et profiter de ce qui est à tes yeux, beau
Placer les moments sincères devant les espoirs confus.
Il me décrivit l'amour dans des mots
Que je ne saurais répétés, encore pour moi inconnus
Il m'a dit : ne t'inquiète pas, il frappe bien assez tôt
Il ne se voit pas, mais il faut d'abord y avoir cru
Pour que vous trouviez sa beauté, cachée tel un précieux joyaux.
Au plaisir de vous écrire,
I.
Je ne crois pas que tu le connaisses
Appuyé contre un énorme orme
Il souriait à l'aube respirant la jeunesse
Je n'avais jamais vu un sourire sous cette forme
Mélangeant l'ironie et la sagesse
Il me parla de la beauté des défauts
Quand l'amour s'effrite et pourtant fut
C'est savoir que les sourires guérissent les maux
C'est savoir que tu ne te réveilleras pas seul et déçu
C'est marcher dans le bonheur, les yeux clôt
C'est d'oublier ce qui ne pourrait être vécu
Et profiter de ce qui est à tes yeux, beau
Placer les moments sincères devant les espoirs confus.
Il me décrivit l'amour dans des mots
Que je ne saurais répétés, encore pour moi inconnus
Il m'a dit : ne t'inquiète pas, il frappe bien assez tôt
Il ne se voit pas, mais il faut d'abord y avoir cru
Pour que vous trouviez sa beauté, cachée tel un précieux joyaux.
Au plaisir de vous écrire,
I.