Dans le reflet de tes larmes,
J'ai perçu la teinte de ton chagrin,
Ton mal dans la peau me désarme,
Tes rires se gravent comme un refrain.
J'oublierai, malgré tout, le tranchant de tes paroles,
Tombant dans le délire et l'excès de tes valses folles,
J'ai goûté tant de fois à l'ivresse de tes maux,
Que je pourrais les écrire au sang de ma douleur.
Ces peurs animales rongent mes nuits au couteau,
A la puissance de mes tourments, répondent les déflagrations de mon coeur,
Je t'aime autant qu'il m'est possible de rêver,
Je rêve autant qu'il m'est possible de t'aimer.
J'ai perçu la teinte de ton chagrin,
Ton mal dans la peau me désarme,
Tes rires se gravent comme un refrain.
J'oublierai, malgré tout, le tranchant de tes paroles,
Tombant dans le délire et l'excès de tes valses folles,
J'ai goûté tant de fois à l'ivresse de tes maux,
Que je pourrais les écrire au sang de ma douleur.
Ces peurs animales rongent mes nuits au couteau,
A la puissance de mes tourments, répondent les déflagrations de mon coeur,
Je t'aime autant qu'il m'est possible de rêver,
Je rêve autant qu'il m'est possible de t'aimer.