Le printemps revenu avec le bleu du ciel
Dans l’air frais du matin, sur la mer d’émeraude
Qu’un gai soleil éclaire, à la nature une ode
Mais pourtant sur ses lèvres arrive un goût de fiel
Il l’aurait tant aimé tout ce beau paysage
Et ce bateau à voiles arrivé depuis peu
Entouré de mouettes écrivant un message
Celui que sa pensée envoie au bienheureux
Comment imaginer ce Père bien aimé
Ailleurs qu’au Paradis réservé aux Poètes
Dans ce monde idéal pour qui il ont œuvré
Où ils sont attendus et où on leur fait fête
A son seul souvenir ses beaux yeux embués
Ne voient plus qu’un ailleurs, étrange sortilège
La beauté du présent, lui semble sacrilège
Partout il est présent, elle revoit son passé
Depuis son plus jeune âge, elle l’a tant aimé
En recevant autant de lui qui l’adorait
Parfois il s’est fâché avec la voix grondeuse
Mais vite il lui prouvait qu’elle restait sa charmeuse
Il y a peu encore elle lui écrivait
Tout ce que par pudeur elle ne lui disait :
Sa foi en l’amitié et puis cette Espérance
En un monde meilleur, pour lui la seule chance !
Elle regarde autour d’elle, et elle est apaisée
Une douceur étrange envahit son esprit
Ce qu’il aurait voulu, c’est qu’enfin elle sourit
Et poursuive sa vie aussi déterminée !
Jan
Dans l’air frais du matin, sur la mer d’émeraude
Qu’un gai soleil éclaire, à la nature une ode
Mais pourtant sur ses lèvres arrive un goût de fiel
Il l’aurait tant aimé tout ce beau paysage
Et ce bateau à voiles arrivé depuis peu
Entouré de mouettes écrivant un message
Celui que sa pensée envoie au bienheureux
Comment imaginer ce Père bien aimé
Ailleurs qu’au Paradis réservé aux Poètes
Dans ce monde idéal pour qui il ont œuvré
Où ils sont attendus et où on leur fait fête
A son seul souvenir ses beaux yeux embués
Ne voient plus qu’un ailleurs, étrange sortilège
La beauté du présent, lui semble sacrilège
Partout il est présent, elle revoit son passé
Depuis son plus jeune âge, elle l’a tant aimé
En recevant autant de lui qui l’adorait
Parfois il s’est fâché avec la voix grondeuse
Mais vite il lui prouvait qu’elle restait sa charmeuse
Il y a peu encore elle lui écrivait
Tout ce que par pudeur elle ne lui disait :
Sa foi en l’amitié et puis cette Espérance
En un monde meilleur, pour lui la seule chance !
Elle regarde autour d’elle, et elle est apaisée
Une douceur étrange envahit son esprit
Ce qu’il aurait voulu, c’est qu’enfin elle sourit
Et poursuive sa vie aussi déterminée !
Jan