Dans ce cadre où rougeoie le firmament
Ton souvenir m’émeut profondément
Et je revois alors ton beau visage
Tout ce ‘Toi’, d’où une aura se dégage
Je vois la ville où s’allument les lampes
Mais où peu à peu la rumeur s’éteint
Des ombres immobiles dans le lointain
Donnent à l’ensemble une valeur d’estampe
Si je pouvais aller encore vers toi
Et t’enlacer, recueillir tes émois
Rester ainsi des heures, charme unique
Quand tout de l’un à l’autre communique
Dire des mots d’amour avec emphase
Ou soudain silencieux et en extase
Bouche contre bouche pour un baiser
Qui prélude un corps à corps espéré
Un moment appelé de tous mes vœux
Je respire l’odeur de tes cheveux
Je reprends vie aux contours de tes lèvres
Et te caresse : art patient de l’orfèvre
Cette nuit, ces bonheurs, ne sont qu'un songe
Mon esprit se complait dans ce mensonge
C’est un rêve qui donne des frissons
D'un temps où nous étions à l’unisson…
Jan
Ton souvenir m’émeut profondément
Et je revois alors ton beau visage
Tout ce ‘Toi’, d’où une aura se dégage
Je vois la ville où s’allument les lampes
Mais où peu à peu la rumeur s’éteint
Des ombres immobiles dans le lointain
Donnent à l’ensemble une valeur d’estampe
Si je pouvais aller encore vers toi
Et t’enlacer, recueillir tes émois
Rester ainsi des heures, charme unique
Quand tout de l’un à l’autre communique
Dire des mots d’amour avec emphase
Ou soudain silencieux et en extase
Bouche contre bouche pour un baiser
Qui prélude un corps à corps espéré
Un moment appelé de tous mes vœux
Je respire l’odeur de tes cheveux
Je reprends vie aux contours de tes lèvres
Et te caresse : art patient de l’orfèvre
Cette nuit, ces bonheurs, ne sont qu'un songe
Mon esprit se complait dans ce mensonge
C’est un rêve qui donne des frissons
D'un temps où nous étions à l’unisson…
Jan