Pour Pierre et dans un souci d'égalité, voici la version feminine...
Il me souvient d’un bel après midi de printemps.
Je promenais avec la belle Margot à travers champs.
Du coin de l’œil, à travers son léger corsage,
J’apercevais son sein, fier et sauvage.
Sa robe à mi-cuisses elle avait relevée.
Sous le soleil ardent, sa beauté irradiait.
Et n’était pas sans provoquer quelque émoi, en moi.
Toutefois , la nature sait reprendre ses droits,
Voila que je sens s’agiter ma belle amie,
Je devine qu’elle a envie de vider sa vessie.
Discrètement, je vis s’éloigner ma jolie compagne,
Et aller s’isoler un peu plus loin dans la campagne.
Soudain, venant de derrière les fourrés un cri j’entendis,
Le cœur battant, aussitôt, à l’aide de ma belle, je bondis.
J’aperçus un éclair vert sous les feuilles disparaître.
Un serpent au plus intime, l’avait mordu, le traitre.
De Margot, sur le dos renversée, ses jupes relevées,
Je ne voyais que le sexe rose et gonflé.
Affolement, cette morsure, c’était la mort assurée,
A moins que le venin, rapidement, ne soit aspiré.
Je me mets en devoir de lécher, sucer, ses lèvres adorées
Plus je me démenais, plus, me semblait il, le venin coulait.
Je sentais le froid de la mort la quitter,
Et, même, une douce coloration rosée l’envahissait.
Vers moi, après de longs moments de ce jeu,
Elle se redressa et me dis : je te dois un aveu,
Le serpent, point ne m’a piqué,
Sa vue seule m’a fait crier…
Mais continue de tes doux soins à me faire profiter.
Il me semble même qu’un insecte de la situation a abusé,
Et au fond de ma tendre grotte s’est faufilé.
De quelques coups de boutoirs bien placés,
Il me semble qu’il te serait facile de l’écraser.
Je vous assure que, davantage, je ne me fis point prier.
Il me souvient d’un bel après midi de printemps.
Je promenais avec la belle Margot à travers champs.
Du coin de l’œil, à travers son léger corsage,
J’apercevais son sein, fier et sauvage.
Sa robe à mi-cuisses elle avait relevée.
Sous le soleil ardent, sa beauté irradiait.
Et n’était pas sans provoquer quelque émoi, en moi.
Toutefois , la nature sait reprendre ses droits,
Voila que je sens s’agiter ma belle amie,
Je devine qu’elle a envie de vider sa vessie.
Discrètement, je vis s’éloigner ma jolie compagne,
Et aller s’isoler un peu plus loin dans la campagne.
Soudain, venant de derrière les fourrés un cri j’entendis,
Le cœur battant, aussitôt, à l’aide de ma belle, je bondis.
J’aperçus un éclair vert sous les feuilles disparaître.
Un serpent au plus intime, l’avait mordu, le traitre.
De Margot, sur le dos renversée, ses jupes relevées,
Je ne voyais que le sexe rose et gonflé.
Affolement, cette morsure, c’était la mort assurée,
A moins que le venin, rapidement, ne soit aspiré.
Je me mets en devoir de lécher, sucer, ses lèvres adorées
Plus je me démenais, plus, me semblait il, le venin coulait.
Je sentais le froid de la mort la quitter,
Et, même, une douce coloration rosée l’envahissait.
Vers moi, après de longs moments de ce jeu,
Elle se redressa et me dis : je te dois un aveu,
Le serpent, point ne m’a piqué,
Sa vue seule m’a fait crier…
Mais continue de tes doux soins à me faire profiter.
Il me semble même qu’un insecte de la situation a abusé,
Et au fond de ma tendre grotte s’est faufilé.
De quelques coups de boutoirs bien placés,
Il me semble qu’il te serait facile de l’écraser.
Je vous assure que, davantage, je ne me fis point prier.