LA VIE
La vie suit l’étrange,
Ce hasard toujours là,
Cette belle étoile
Qui se mire devant moi.
La vie suit l’étrange,
Ce hasard toujours là,
Cette belle étoile
Qui se mire devant moi.
Comme un fleuve, elle suit son cours,
Elle demeure grâce à l’amour,
Ses méandres par les cailloux
Changent sa face en un seul jour.
Elle demeure grâce à l’amour,
Ses méandres par les cailloux
Changent sa face en un seul jour.
L’homme ignore tous les bienfaits donnés.
Il préfère ceux qu’il a distribués.
Met à son échelle le « plus-que-parfait »
Oubliant l’essentiel bien festonné.
Il préfère ceux qu’il a distribués.
Met à son échelle le « plus-que-parfait »
Oubliant l’essentiel bien festonné.
La vie ne se troque pas.
Elle va toujours grandissante,
Respectant l’essentiel,
La base venue du ciel.
Elle va toujours grandissante,
Respectant l’essentiel,
La base venue du ciel.
C’est ainsi que la vie suit le cours
Deux mille oublie la vie tout court.
Ces grandes choses sont dépourvues
De morale, de sens, de vertus,
Elle est faiblesses et aventures.
Deux mille oublie la vie tout court.
Ces grandes choses sont dépourvues
De morale, de sens, de vertus,
Elle est faiblesses et aventures.
Je fais partie de ce monde,
Où tous les caprices inondent
Ce monde à peine reconnu,
Car l’exemple n’existe plus.
Mais la référence est toujours là,
Ce monogramme qui marque la vie
Indélébile jusqu’à l’autre vie.
A la retraite depuis mars 2000
En attendant il y a le confinement coronavirus
Polymnie2 - Octobre 2001
Je ne connaissais pas encore l'association des Poètes Philemon
Où tous les caprices inondent
Ce monde à peine reconnu,
Car l’exemple n’existe plus.
Mais la référence est toujours là,
Ce monogramme qui marque la vie
Indélébile jusqu’à l’autre vie.
A la retraite depuis mars 2000
En attendant il y a le confinement coronavirus
Polymnie2 - Octobre 2001
Je ne connaissais pas encore l'association des Poètes Philemon
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