Sur le sol humide, cette délicieuse et délicate rose
Se fane doucement, laissant ainsi mourir morose
Son odeur précieuse, sa beauté rare et sacrée.
Elle représente ma vie en cet instant, égarée.
Une main la ramasse et la dépose sur mon cœur.
Egrainant le sable éternel de milliers d’heures.
Mes pensées et ma raison se figes un instant
Ouvrant à mes yeux la porte du temps présent.
Je sens encore son arôme précieux m’envouter
Guidant mon esprit dans de sombres contrées,
Décoré des tableaux d’une vie mélancolique.
Place à la vie, aux joies et au bonheur lyrique.
Je laisse dernière moi cet épisode trouble,
Cette impression de n’être que mon double.
De supposer que la tristesse était la vie
M’a laissé passer à coté de milles envies.
Maintenant, cette rose fragile est morte,
Seul, oubliée de tous, en quelque sorte.
Elle ne ressemble plus à mon présent
Car j’ai compris que la vie est un présent.
Se fane doucement, laissant ainsi mourir morose
Son odeur précieuse, sa beauté rare et sacrée.
Elle représente ma vie en cet instant, égarée.
Une main la ramasse et la dépose sur mon cœur.
Egrainant le sable éternel de milliers d’heures.
Mes pensées et ma raison se figes un instant
Ouvrant à mes yeux la porte du temps présent.
Je sens encore son arôme précieux m’envouter
Guidant mon esprit dans de sombres contrées,
Décoré des tableaux d’une vie mélancolique.
Place à la vie, aux joies et au bonheur lyrique.
Je laisse dernière moi cet épisode trouble,
Cette impression de n’être que mon double.
De supposer que la tristesse était la vie
M’a laissé passer à coté de milles envies.
Maintenant, cette rose fragile est morte,
Seul, oubliée de tous, en quelque sorte.
Elle ne ressemble plus à mon présent
Car j’ai compris que la vie est un présent.