Suite de L'art de la table
Comme je me suis refaite une denture et qu’à présent j’ai la dent dure, j’ai décidé d’organiser le dernier repas de mon andouille d’ami chez-moi, ils croyaient lui et sa femme, qu’ils étaient conviés à un festin de roi, loin de là, en posant la table, j’avais pas mis les petits plats dans les grands ,ni sortis l’argenterie et le menu était pas copieux, pour commencer ils se sont tapé du concombre en apéritif et vu que j’étais presque à sec de liquide alcoolisé, j’ai dû mettre de l’eau dans le vin mais avant de le servir j’ai tiré le bouchon et il a atterri dessous la table, heureusement la femme de mon pote est allée le chercher, puisqu’elle a l’habitude de passée sous le bureau, là au moins c’était plus grand, on aurait dit qu’elle était comme un poisson dans l’eau, j’avais jamais vu ça, il fallait tirer les carottes pour qu’elle sorte de là, elle aime ça d’après son mari alors j’en ai râpé pour l’entrée, » elles sentent le roussi » a dit mon ami, normal j’ai mis le feu à la cuisine en les préparant mais ça passé bien avec le jus de chaussettes de l’équipe de rugby de mon fils. Pour le plat de résistance, j’ai servie du gros lard qu’ils ont mangé comme des porcs et du petit lait qui tourné au vinaigre, ils l’ont bu cul sec le leur ne l’était pas pourtant, ils sont surement restés sur leur faim, ils m’ont littéralement mangé dans la main parce que dedans j’avais la frite et ils m’ont arraché le pain de la bouche, j’en ai eu assez de me faire rouler de la farine par ces boudins, comme j’avais de la bouteille vide et ben j’ai fait du verre pilé, je l’ai mis dans les crêpes que je venais de retourner et d’aplatir, j’ai servi ça en guise de dessert, c’était chaud bouillant la femme de mon pote a dû appuyé avec ses mains glacés sur son champignon pour faire baisser la température vu que j’en ai versé sur lui, exprès, soulagé il m’a demandé « ce n’est pas de la tarte » j’ai répondu que j’avais fais ma recette et qu’elle était secrète mais j’ai eu peur que sa femme n’y goûte pas car elle a ramenée sa fraise, j’ai du lui mettre deux prunes dessus pour l’attirer, enfin, ils ont pris ça a pleine bouche, se sont écorchés la langue, ils pissaient le sang et moi je levais mon verre de cocktail détonant au plat froid que je venais de déguster.
Comme je me suis refaite une denture et qu’à présent j’ai la dent dure, j’ai décidé d’organiser le dernier repas de mon andouille d’ami chez-moi, ils croyaient lui et sa femme, qu’ils étaient conviés à un festin de roi, loin de là, en posant la table, j’avais pas mis les petits plats dans les grands ,ni sortis l’argenterie et le menu était pas copieux, pour commencer ils se sont tapé du concombre en apéritif et vu que j’étais presque à sec de liquide alcoolisé, j’ai dû mettre de l’eau dans le vin mais avant de le servir j’ai tiré le bouchon et il a atterri dessous la table, heureusement la femme de mon pote est allée le chercher, puisqu’elle a l’habitude de passée sous le bureau, là au moins c’était plus grand, on aurait dit qu’elle était comme un poisson dans l’eau, j’avais jamais vu ça, il fallait tirer les carottes pour qu’elle sorte de là, elle aime ça d’après son mari alors j’en ai râpé pour l’entrée, » elles sentent le roussi » a dit mon ami, normal j’ai mis le feu à la cuisine en les préparant mais ça passé bien avec le jus de chaussettes de l’équipe de rugby de mon fils. Pour le plat de résistance, j’ai servie du gros lard qu’ils ont mangé comme des porcs et du petit lait qui tourné au vinaigre, ils l’ont bu cul sec le leur ne l’était pas pourtant, ils sont surement restés sur leur faim, ils m’ont littéralement mangé dans la main parce que dedans j’avais la frite et ils m’ont arraché le pain de la bouche, j’en ai eu assez de me faire rouler de la farine par ces boudins, comme j’avais de la bouteille vide et ben j’ai fait du verre pilé, je l’ai mis dans les crêpes que je venais de retourner et d’aplatir, j’ai servi ça en guise de dessert, c’était chaud bouillant la femme de mon pote a dû appuyé avec ses mains glacés sur son champignon pour faire baisser la température vu que j’en ai versé sur lui, exprès, soulagé il m’a demandé « ce n’est pas de la tarte » j’ai répondu que j’avais fais ma recette et qu’elle était secrète mais j’ai eu peur que sa femme n’y goûte pas car elle a ramenée sa fraise, j’ai du lui mettre deux prunes dessus pour l’attirer, enfin, ils ont pris ça a pleine bouche, se sont écorchés la langue, ils pissaient le sang et moi je levais mon verre de cocktail détonant au plat froid que je venais de déguster.