Quand l'eau du ciel ruisselle, que l'été est fini
La plus jolie saison, dans le vent tourbillonne
Vers le Parc des Oiseaux, se pare à l'infini
L'allée bougainvilliers, de l'ambre de l'automne
Les demeures aux toits rouges, ont des lions en pierre
Dont l'assaut des perrons, est vestige du temps
Des sphinx aux yeux de chat, lampent sous la lumière
Où la foudre et l'orage, s'unissent haletant
Cieux de ta chevelure, délicieuse nature
Les concerts d'univers, composent des arias
Cuir des chevaux de feu, l'air d'une fantasia
Déesse d'Epicure, par tes seules cambrures
La tige purpurine, perle une ballerine
De moire et d'organza, de Degas la Tsarine.
Paule
La plus jolie saison, dans le vent tourbillonne
Vers le Parc des Oiseaux, se pare à l'infini
L'allée bougainvilliers, de l'ambre de l'automne
Les demeures aux toits rouges, ont des lions en pierre
Dont l'assaut des perrons, est vestige du temps
Des sphinx aux yeux de chat, lampent sous la lumière
Où la foudre et l'orage, s'unissent haletant
Cieux de ta chevelure, délicieuse nature
Les concerts d'univers, composent des arias
Cuir des chevaux de feu, l'air d'une fantasia
Déesse d'Epicure, par tes seules cambrures
La tige purpurine, perle une ballerine
De moire et d'organza, de Degas la Tsarine.
Paule