Cette journée d’octobre, je ne l’oublierai jamais,
C’est avec grand regret que je t’ai quittée,
Et bien que je t’aimais ma douce, mon adorée,
De cette situation j’en suis bien bouleversé.
Il n’y avait plus que toi dans ce cœur, mon cœur,
Toi qui avais su le réanimer par ta chaleur,
Toi qui avais su le ressusciter par ton ardeur,
Je me sentais revivre avec tant d’hauteur.
Maintenant c’est fini, la tristesse m’envahie,
Que vais-je faire sans toi de ma vie ?
Sculpter une créature à ton effigie
Et continuer à t’aimer à la folie !
Je ne sais pas, je ne sais plus quoi penser du futur,
Mais je sais qu’actuellement, j’ai dure,
Dure de se quitter dans un moment aussi pure,
Toi ma bien aimée qui n’est plus que peinture.
- Il n’y rein de plus triste que la tristesse d’un homme gai.
C’est avec grand regret que je t’ai quittée,
Et bien que je t’aimais ma douce, mon adorée,
De cette situation j’en suis bien bouleversé.
Il n’y avait plus que toi dans ce cœur, mon cœur,
Toi qui avais su le réanimer par ta chaleur,
Toi qui avais su le ressusciter par ton ardeur,
Je me sentais revivre avec tant d’hauteur.
Maintenant c’est fini, la tristesse m’envahie,
Que vais-je faire sans toi de ma vie ?
Sculpter une créature à ton effigie
Et continuer à t’aimer à la folie !
Je ne sais pas, je ne sais plus quoi penser du futur,
Mais je sais qu’actuellement, j’ai dure,
Dure de se quitter dans un moment aussi pure,
Toi ma bien aimée qui n’est plus que peinture.
- Il n’y rein de plus triste que la tristesse d’un homme gai.