[FONT=Times New Roman, serif]C’est une étoile de magnificence
Dont le retentissement des lumières
Fières
s’associe harmonieusement à la voix humaine pour chanter à tue-tête des hymnes jubilatoires…
Et toi, homme, tu traverseras si voulu l’atlantique,
Le Népal et les îles Marshall ;
Tu marcheras sans répit le long des côtes du Sri Lanka
Ou même le long des falaises heureuses ;
Tu te feras toutes les richesses qui soient…
Sans amis véritables,
T’engloutiront ennui, angoisse et tristesses appétissantes.
Sans amis, eux-mêmes amis de l’Amitié désintéressée,
Le bonheur se paiera le luxe abject
De te fuir,
Te fuir à tout jamais…
L’Amitié, celle qui ne compte pas,
Elle est la clé de ce monde.
Homme, sauve donc ton existence en t’agrippant
Au pompeux de son miroitement salvateur.
Dont le retentissement des lumières
Fières
s’associe harmonieusement à la voix humaine pour chanter à tue-tête des hymnes jubilatoires…
Et toi, homme, tu traverseras si voulu l’atlantique,
Le Népal et les îles Marshall ;
Tu marcheras sans répit le long des côtes du Sri Lanka
Ou même le long des falaises heureuses ;
Tu te feras toutes les richesses qui soient…
Sans amis véritables,
T’engloutiront ennui, angoisse et tristesses appétissantes.
Sans amis, eux-mêmes amis de l’Amitié désintéressée,
Le bonheur se paiera le luxe abject
De te fuir,
Te fuir à tout jamais…
L’Amitié, celle qui ne compte pas,
Elle est la clé de ce monde.
Homme, sauve donc ton existence en t’agrippant
Au pompeux de son miroitement salvateur.