La paresse
Ça y est, je vais prendre mon pied,
Retirant le « A » de paresse,
Sans vouloir être le premier,
Car de nouveau cela me presse.
Grâce matinée, à l’aurore,
L’affreux poil pousse dans ma main,
Des concours, j’en veux, je décore,
Ne pas remettre au lendemain.
Et si je me la coule douce,
Je les ai mis en éventail,
C’est écrit ici sur le pouce,
Toujours, sans aucun attirail.
Ça y est, je vais prendre mon pied,
Retirant le « A » de paresse,
Sans vouloir être le premier,
Car de nouveau cela me presse.
Grâce matinée, à l’aurore,
L’affreux poil pousse dans ma main,
Des concours, j’en veux, je décore,
Ne pas remettre au lendemain.
Et si je me la coule douce,
Je les ai mis en éventail,
C’est écrit ici sur le pouce,
Toujours, sans aucun attirail.
Déjà, J’ai bien rempli mon verre,
Enveloppé dans mon hamac,
Pense à ceux trop terre à terre,
Sirotant un plaisant cognac.
Enveloppé dans mon hamac,
Pense à ceux trop terre à terre,
Sirotant un plaisant cognac.
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