Nous étions tous affairés dans nos bureaux respectifs, à des tâches plus ou moins intéressantes.
D’un seul coup, sans prévenir, plus de lumière, l’ordinateur s’éteint, une panne de courant.
J’entends quelqu’un qui essaie de remettre le compteur électrique… mais rien n’y fait.
Ce doit être une panne de secteur.
Mais j’y repense, il me semble avoir vu Antonio se diriger vers la salle d’archives, il y a déjà un bon moment.
Le pauvre dans le noir…, je prend une lampe de poche et vais à sa rencontre.
J’ouvre la porte… il fait noir,
On se croirait à la mine … je n’entends aucun bruit.
Je marche dans les allées…
Et… je m’arrête…, sous un soupirail se trouve un petit bureau
Et Antonio, …bizarre
Je peux l’apercevoir de dos
Il a le pantalon baissé, son gourdin dans une main, et l’autre main feuillette un magazine.
Il ne s’en fait pas l’Antonio… !!!
Un scénario me vint à l’esprit… et si je lui faisais un cadeau…
Sans faire un bruit…
J’enlève mon string
Je déboutonne mon chemisier et m’approche de lui…
Il est étonné…, je lui murmure à l’oreille : continues..,
Je lui prends la main qui feuillette le magazine, et je la pose sur un de mes seins
J’enlève mon soutien gorge, et il me lèche un téton déjà durcit par le plaisir
Sa main curieuse, caresse et remonte entre mes cuisses
Il me demande de me courber en appui sur le bureau
Et il me prend en levrette,
De grands coups de reins, des vas et viens interminables
Puis il s’arrête… vais pouvoir reprendre des forces
Il me murmure à l’oreille : j’ai pas finit
Il s’enfonce encore +
Il me dit : vais te chauffer ton clitoris
J’étais prise comme dans un étau brûlant
J’étais telle une poupée, ne pouvant plus me mouvoir
Juste recevoir… du plaisir… de partout
De ses doigts habiles tel un pianiste… il me caressait le clito
J’étais mouillée comme jamais
Il me « limait » à nouveau
Puis un bruit… maudit radio réveil !!!... ce n'était qu'un rêve
D’un seul coup, sans prévenir, plus de lumière, l’ordinateur s’éteint, une panne de courant.
J’entends quelqu’un qui essaie de remettre le compteur électrique… mais rien n’y fait.
Ce doit être une panne de secteur.
Mais j’y repense, il me semble avoir vu Antonio se diriger vers la salle d’archives, il y a déjà un bon moment.
Le pauvre dans le noir…, je prend une lampe de poche et vais à sa rencontre.
J’ouvre la porte… il fait noir,
On se croirait à la mine … je n’entends aucun bruit.
Je marche dans les allées…
Et… je m’arrête…, sous un soupirail se trouve un petit bureau
Et Antonio, …bizarre
Je peux l’apercevoir de dos
Il a le pantalon baissé, son gourdin dans une main, et l’autre main feuillette un magazine.
Il ne s’en fait pas l’Antonio… !!!
Un scénario me vint à l’esprit… et si je lui faisais un cadeau…
Sans faire un bruit…
J’enlève mon string
Je déboutonne mon chemisier et m’approche de lui…
Il est étonné…, je lui murmure à l’oreille : continues..,
Je lui prends la main qui feuillette le magazine, et je la pose sur un de mes seins
J’enlève mon soutien gorge, et il me lèche un téton déjà durcit par le plaisir
Sa main curieuse, caresse et remonte entre mes cuisses
Il me demande de me courber en appui sur le bureau
Et il me prend en levrette,
De grands coups de reins, des vas et viens interminables
Puis il s’arrête… vais pouvoir reprendre des forces
Il me murmure à l’oreille : j’ai pas finit
Il s’enfonce encore +
Il me dit : vais te chauffer ton clitoris
J’étais prise comme dans un étau brûlant
J’étais telle une poupée, ne pouvant plus me mouvoir
Juste recevoir… du plaisir… de partout
De ses doigts habiles tel un pianiste… il me caressait le clito
J’étais mouillée comme jamais
Il me « limait » à nouveau
Puis un bruit… maudit radio réveil !!!... ce n'était qu'un rêve