La moisson de beauté de la Femme
Mon ombre s’évanouit
dans la forêt insoumise
et
goûte les escales de brume,
je rougis
devant la solitude intolérable de l’Azur,
et je m’incline devant
la moisson de ta beauté, ma Douce,
toi, Laurence, la Femme qui caresses
les pennes des colombes,
toi, la veilleuse de perfection
qui apaises les orgues de vent du Loir.
La Nature suspend à ton annonce
les œuvres des hommes
qui n’ont plus pour armes
que les ergots des ronces,
et face aux gâtines de contemplation,
je pose mes mains
sur
le dôme de ton visage,
puis à genoux parmi la prée du Maine,
je clame l’aube de tes triomphes,
ô ma Rose d’entre les roses,
ô la nymphe des origines !
Sophie Rivière
Mon ombre s’évanouit
dans la forêt insoumise
et
goûte les escales de brume,
je rougis
devant la solitude intolérable de l’Azur,
et je m’incline devant
la moisson de ta beauté, ma Douce,
toi, Laurence, la Femme qui caresses
les pennes des colombes,
toi, la veilleuse de perfection
qui apaises les orgues de vent du Loir.
La Nature suspend à ton annonce
les œuvres des hommes
qui n’ont plus pour armes
que les ergots des ronces,
et face aux gâtines de contemplation,
je pose mes mains
sur
le dôme de ton visage,
puis à genoux parmi la prée du Maine,
je clame l’aube de tes triomphes,
ô ma Rose d’entre les roses,
ô la nymphe des origines !
Sophie Rivière
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