I
Il n'ya pas plus doux que l'opacité de la mer.
Une mer si profonde et amère,
Pleine de couleurs comme celles du fer.
Une mer latente qui cache ses mystères.
Elle ne rejette que les varechs.
Une mer qui usurpe
ce que donne la nature.
Ses vagues écumeuses
sont comme un prisme d'azur.
Ses ressacs dévorent les récifs.
Et ses reflux, abîment posément
Les premiers pas d'oisillon.
Une mer si profonde et amère,
Pleine de couleurs comme celles du fer.
Une mer latente qui cache ses mystères.
Elle ne rejette que les varechs.
Une mer qui usurpe
ce que donne la nature.
Ses vagues écumeuses
sont comme un prisme d'azur.
Ses ressacs dévorent les récifs.
Et ses reflux, abîment posément
Les premiers pas d'oisillon.