LA MER
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Par le chant de ses vagues, captive la mer,
J’aime humer ses embruns, tels des vapeurs d’encens,
A bord de ce vaisseau, qui a quitté Ouessant,
Quand au loin disparaît l'image de la terre.
Chaque jour il se doit, jusqu’à la mort, peut-être,
D’honorer celle qui le ramène à bon port.
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Par le chant de ses vagues, captive la mer,
J’aime humer ses embruns, tels des vapeurs d’encens,
A bord de ce vaisseau, qui a quitté Ouessant,
Quand au loin disparaît l'image de la terre.
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Un vol de cormorans à l’allure sévère
Plane dans le sillage de ce bateau blanc,
Nous faisant profiter, par son appel vibrant,
Des tempos mélodieux d’un chant éphémère.
Pour le marin la mer, est joie ou bien malheur,
Il y trouve la vie ou lui crie sa douleur.
Car ces flots précieux, sa seule raison d’être,
[FONT=Arial, Helvetica, sans-serif]Représentent bien plus que des montagnes d’or.Plane dans le sillage de ce bateau blanc,
Nous faisant profiter, par son appel vibrant,
Des tempos mélodieux d’un chant éphémère.
Pour le marin la mer, est joie ou bien malheur,
Il y trouve la vie ou lui crie sa douleur.
Car ces flots précieux, sa seule raison d’être,
Chaque jour il se doit, jusqu’à la mort, peut-être,
D’honorer celle qui le ramène à bon port.